Jean-Luc Mélenchon sur les Législatives : « Le peuple sénégalais a donné une leçon de liberté au monde entier »

Proche d’Ousmane Sonko, qui l’a déjà invité au Sénégal, Jean-Luc Mélenchon a réagi aux élections législatives sénégalaises, qui a vu une large victoire de Pastef. L’homme politique français et leader des Insoumis a félicité le parti au pouvoir pour sa victoire, mais également le peuple sénégalais. « Très large victoire du Pastef pour les législatives au Sénégal. Chaleureuses félicitations au peuple sénégalais, qui n’a écouté que lui-même et a donné une leçon de liberté au monde entier. En avant pour la nouvelle étape de la révolution citoyenne au Sénégal ! », a écrit Mélenchon sur sa page X, anciennement Twitter. Selon les dernières estimations, le Pastef d’Ousmane Sonko devrait récolter entre 119 et 129 députés à l’Assemblée nationale sur les 163 sièges à pourvoir. Une large majorité qui devrait permettre aux nouveaux dirigeants de dérouler leur projet.

Marché central de Thiès : un incendie ravage une trentaine de cantines

Un feu d’une rare violence qui s’est déclaré au marché central de Thiès à l’endroit dénommé Roukou Disquette n’a presque rien laissé sur son passage. Les conséquences sont terribles puisqu’une trentaine de cantines ont été consumés par les flammes.

Ils ont causé d’importants dégâts matériels, si l’on en croit à nos confrères de Dakaractu. Selon les premières réactions émanant des victimes, les pertes sont estimées à plus d’une centaine de millions de Fcfa.

Alertés, les sapeurs-pompiers ont effectué le déplacement et ont réussi à maitrisé les flammes, mais la promiscuité et les branchements anarchiques ont un peu ralenti les opérations.

Un court-circuit serait à l’origine de cet incendie, informe la même source.

Legislative 2024 :Le département de Ranérou dit oui à Takku Wallu

La commission départementale de recensement de vote de Ranérou Ferlo a rendu public les résultats provisoires des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Lesquels résultats ont confirmé la victoire de la coalition Takku Wallu Sénégal dirigée par Macky Sall qui a obtenu 8289 voix, suivie par le parti Pastef/ les Patriotes qui a eu 5550 voix et la coalition Jamm Ak Njerin (1556 voix). Dans ce département qui compte un (01) seul siège, le nombre d’inscrits est de 27 396 pour 17 425  votants. Le nombre de bulletins nuls s’est établi à 225 pour 17 200 suffrages valablement exprimés.

Déclaration de patrimoine : Ousmane Sonko en régle

La question revient souvent dans le débat public. Pourquoi l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), qui les reçoit, n’a-t-il pas rendu publiques les déclarations de patrimoine des membres du gouvernement, le Premier ministre, Ousmane Sonko, en tête ?

La fortune du chef du gouvernement, de l’avis de militants de la transparence, doit être connue du public comme l’est celle du président de la République, communiquée au Conseil constitutionnel, qui s’est chargé de l’exposer aux Sénégalais.

Pourquoi le chef de l’État et pas ses ministres, surtout le premier d’entre eux ? La réponse à la question est simple : la loi. «L’Ofnac n’a pas les prérogatives de rendre public le contenu des déclarations de patrimoine, que ce soit à l’entrée ou à la sortie d’un assujetti», rappelle Aminatou Diop, cheffe de la division réception et traitement des déclarations de patrimoine, reprise par L’Observateur.

Son collègue Babacar Bâ, vice-président de l’Ofnac, acquiesce. Et embraye : «Tout est question de plaidoyer. Si les Sénégalais jugent nécessaire d’aller vers la publication de ces données, il faudra modifier la loi. Qui peut le plus peut le moins : la loi obligeant le président de la République à rendre publiques les données de sa déclaration de patrimoine pourrait tout aussi bien s’appliquer aux membres du gouvernement.»

L’ancien député Pds Doudou Wade applaudirait en cas de modification de la loi dans le sens indiqué par Babacar Bâ. Pour lui, les dispositions actuelles sur la déclaration de patrimoine, du moins pour ce qui est de la publication des données, relèvent de l’incohérence.

Dans des propos repris par L’Observateur, Wade dit : «Le président de la République fait sa déclaration de patrimoine auprès du Conseil constitutionnel, qui est obligé de la rendre publique. Comment voulez-vous, dans ce contexte, protéger son Premier ministre et ses ministres ? Ça n’a pas de sens.»

Le sujet a été abordé ce mardi lors d’un séminaire de formation des journalistes organisé par l’Ofnac et Amnesty international et portant sur la prévention et la lutte contre la corruption, précise le journal du Groupe futurs médias.

LEGISLATIVE: BOUGANE GUEYE FÉLICITE PASTEF

Dans un message publié sur son compte Facebook,Bougane gueye félicite Ousmane Sonko et son parti, tout en réaffirmant son ancrage dans l’opposition

Le leader de Gueum Sa Bopp Les Jambars a concédé la victoire au camp présidentiel dans un message publié sur Facebook ce dimanche soir, quelques heures après la fermeture des bureaux de vote pour les législatives anticipées.

« Les Sénégalais ont voté et confirmé leur choix du 24 mars dernier », a déclaré Bougane Gueye Dany, faisant référence à l’élection présidentielle qui avait vu la victoire au premier tour de Bassirou Diomaye Faye, candidat de Pastef.

L’un des chefs de file de la coalition d’opposition Sam Sa Kaddu a tenu à féliciter « M. Ousmane Sonko et le Pastef », tout en réaffirmant sa position dans l’opposition : « Nous en tirons toutes les conséquences et réitérons notre ancrage dans l’opposition ».

Dans son message, il appelle le nouveau pouvoir à l’action : « J’exhorte le camp présidentiel à désormais se pencher sur la satisfaction des besoins des Sénégalais », tout en se disant « fier de la démocratie sénégalaise ».

Le président de Gueum Sa Bopp Les Jambars conclut son message en se projetant vers l’avenir : « Des défis importants nous attendent, nous sommes décidés à les relever pour le bonheur du Sénégal, objet de notre engagement ».

LA RÉACTION DE MADAME OUSMANE SONKO APRÉS LA VICTOIRE DE PASTEF AUX ÉLÉCTIONS LÉGISLATIVE

Aussi bien pour la liste proportionnelle que pour la majoritaire, les tendances des résultats des législatives de ce dimanche 17 novembre donnent une large victoire à la coalition Pastef du Premier ministre, Ousmane Sonko, tête de liste nationale. Bignona ne fait pas exception. Investis sur la liste des Patriotes, Bakary Diédhiou et madame Ousmane Sonko, la dame qui porte les mêmes prénom et nom que le président de son parti, sont bien lancés pour représenter le département à l’Assemblée nationale.

Cette dernière parle d’une «consécration» pour Pastef en réagissant dans Le Soleil aux premières tendances générales, favorables à son camp. Mais madame Ousmane Sonko a très vite embrayé sur les priorités de Bignona. Celles-ci, dit-elle, ont été égrenées durant la campagne électorale et concernent les «infrastructures de base, la disponibilité de l’eau et de l’électricité, en plus du réseau téléphonique». «Il nous faut un hôpital digne de ce nom et le relèvement du niveau technique du centre de santé de Thionk Essyl», appuie la responsable de Pastef, qui espère aussi que sa localité sera dotée de «des pistes de production, surtout dans le nord-Sindian pour la mobilité et la circulation des biens et des personnes», relaye Le Soleil.

«Les autorités ont compris que la localité est en retard et il nous faut un traitement spécial. Bignona attend beaucoup de ce régime, car nous avons payé un lourd tribut pour la victoire de ce régime», rappelle madame Ousmane Sonko.

[Le Récap] Élections législatives : vers une majorité absolue pour PASTEF

Le parti au pouvoir PASTEF se dirige vers une très large majorité absolue au Parlement au lendemain de législatives censées donner au président et au Premier ministre les moyens de mener d’amples réformes, selon des projections publiées lundi à partir de résultats provisoires.

La radio RFM crédite le Pastef de 119 sièges sur 165 à l’Assemblée nationale. 
PASTEF a remporté dimanche « une large victoire » aux législatives, a indiqué le porte-parole du gouvernement. Elle devrait permettre aux dirigeants d’appliquer l’agenda de rupture et de justice sociale avec lequel ils ont été portés au pouvoir il y a huit mois.
« Je rends hommage au peuple sénégalais pour la large victoire qu’il a donnée à Pastef », le parti du président et du Premier ministre, a déclaré le porte-parole du gouvernement Amadou Moustapha Ndieck Sarré sur la chaîne TFM, en précisant être en possession de « 90 à 95% des résultats ».
« Les tendances lourdes montrent que Pastef aura une majorité qualifiée », a-t-il dit sans préciser combien le Pastef aurait de sièges.

Le Pastef arrive en tête dans une grande majorité des centres de vote dont les médias ont annoncé les résultats provisoires au fur et à mesure de leur affichage.
Deux des principales têtes de liste de l’opposition, le maire de Dakar Barthélémy Dias et le deuxième de la présidentielle de 2024 Amadou Ba, ainsi que d’autres adversaires du Pastef ont félicité ce dernier.
Le Pastef a battu MM. Dias et Ba dans leur bureau de vote, selon les résultats partiels.
Le chef du gouvernement Ousmane Sonko l’emporte largement dans son bureau à Ziguinchor (sud), indiquent ces résultats.
Aucun incident significatif n’a été rapporté. La coalition Takku Wallu Sénégal de l’ancien président Macky Sall a cependant dénoncé dans un communiqué une « fraude massive organisée par le Pastef ».
Des leaders de l’opposition ont reconnu la victoire de Pastef et ont félicité son leader et ses candidats.
‘’Je félicite chaleureusement Pastef pour cette victoire qui reflète la volonté du peuple. Ce moment, au-delà des clivages, est une victoire pour notre démocratie, pour le Sénégal’’, a écrit Amadou Ba sur sa page Facebook.
‘’Au-delà des compétitions électorales, c’est le Sénégal qui doit toujours gagner. C’est le Sénégal qui a encore gagné’’, a ajouté l’ancien Premier ministre.
Barthélémy Dias a aussi reconnu la victoire du parti d’Ousmane Sonko. ‘’En ma qualité de tête de liste de la coalition Sàmm Sa Kàddu, je tiens à féliciter chaleureusement le vainqueur des élections, Pastef, pour sa victoire’’, a réagi M. Dias sur sa page Facebook.
‘’J’exhorte le camp présidentiel à désormais se pencher sur la satisfaction des besoins des Sénégalais’’, a écrit l’opposant Bougane Guèye Dany, l’un des colistiers du maire de Dakar.
‘’Les Sénégalais ont voté et confirmé leur choix du 24 mars dernier [l’élection de Bassirou Diomaye Faye, l’un des leaders de Pastef]. Je remercie mes camarades de Sàmm Sa Kàddu pour l’engagement et la détermination manifestés durant la campagne. Nous en tirons toutes les conséquences et réitérons notre ancrage dans l’opposition’’, a-t-il ajouté.
« Vox populi, vox dei. Félicitations à Pastef. Comme tout individu, la démocratie a besoin de 2 poumons (gouvernement et opposition)pour bien respirer. Dés demain continuons à travailler sur l’alternative en attendant l’alternance qui est la respiration naturelle de la démocratie », a pour sa part réagi Yoro Dia, proche de l’ancien Président Macky Sall.

« Félicitations à la coalition Pastef pour sa victoire aux législatives 2024. Cette élection témoigne de la vivacité démocratique de notre cher Peuple sénégalais. Merci aux militants et sympathisants qui m’ont fait confiance à moi-même, à la coalition Samm Sa Kaddu et à ARC ! », a commenté Anta Babacar Ngom, membre de la coalition Samm Sa Kaddu.

Guédiawaye : il est accusé de viol sur une domestique de 13 ans, le mari de la patronne risque gros

A. L. S. n’a pas pu retenir ses pulsions et le marchand de profession risque gros pour cela. Il a été déféré au Parquet pour viol commis sur une mineure de moins de 15 ans. 

Selon l’accusation, reprise par Les Échos, il aurait «guetté» l’absence de son épouse pour «se retirer avec la domestique, âgée de 13 ans, dans la chambre conjugale» et «doigter» la fille. «Après son forfait, il se rhabille, fait de même avec la mineure et lui demande de garder le silence. Prise de peur, [F. S.] se garde de dénoncer le comportement lubrique du mari de sa patronne», détaille la source. 

Pire, avance le journal, le mis en cause ira plus dans ses agissements : «Un jour, il entraine [la bonne] dans la chambre et abuse d’elle. Et comme d’habitude, il profère des menaces de représailles à [son] encontre et la somme de partir.»

Ce qui devait arriver arriva. «La tante de la gamine constate que celle-ci dégage chaque fois une mauvaise odeur des parties intimes lorsqu’elle urine. Ainsi, elle l’amène au domicile de sa patronne et l’interpelle devant celle-ci et son époux. Confuse, F. S. baisse la tête et refuse de [parler]. Pressée de questions, elle craque et éclate en sanglots», mais elle garde toujours le silence.

Soupçonneuse, sa patronne la conduit chez le gynécologue. Qui conclut à la perte de l’hymen. Atterrée, la tante ramène la fille et la harcèle de questions. «Elle lui hurle dessus et jure de sévir dans le sang si elle [s’emmure dans le silence]», relaye le quotidien d’information. Qui confie que F. S., apeurée, a fini par lâcher le morceau. «C’est lui [le mari] qui m’a violé», accuse-t-il. Saisis d’une plainte, les éléments du commissariat central de Guédiawaye ne tarderont pas à entrer en action. Le présumé violeur sera arrêté et placé en garde à vue malgré ses dénégations.

Meurtre de Aziz Dabala: Nabou Leye pas encore tirée d’affaire

L’affaire du double meurtre de pikine prend une autgre tournure, aprés la libération de Nabou Leye.

Le dossier du double meurtre de Pikine Technopole continue de provoquer de vives réactions. Ce drame, qui a coûté la vie à Abdou Aziz Ba, surnommé « Aziz Dabala », et Boubacar Gano, alias « Waly », tous deux poignardés dans leur appartement, est sous les feux des projecteurs depuis l’annonce de la libération provisoire de Nabou Lèye, l’une des sept personnes mises en cause dans cette affaire. Le 21 octobre dernier, cette décision de justice, assortie d’un contrôle judiciaire, est tombée comme un coup de tonnerre, suscitant incompréhension et colère parmi les familles des victimes.

L’avocat des familles, Me Cheikh Khoureyssi Bâ, a exprimé leur indignation en rappelant la gravité des faits et la complexité de l’affaire, laissant entendre que cette libération provisoire n’est pas seulement prématurée, mais également déroutante. « Sa liberté reste précaire », nuance toutefois le journal L’Observateur, en précisant qu’une simple absence de signature sur le registre de contrôle judiciaire pourrait entraîner la révocation de cette mesure.

Cette situation interpelle d’autres juristes et observateurs, qui questionnent les circonstances entourant cette libération. Me Babacar Niang, agrégé des Facultés de droit, s’est ainsi dit étonné que cette décision ait été prise par un juge intérimaire. « Il y a eu un vaste mouvement au sein de la magistrature récemment, et le juge initialement en charge du dossier a été affecté à un autre poste, laissant le cabinet d’instruction sans titulaire », précise-t-il. Selon lui, l’intervention d’un juge intérimaire dans une affaire aussi sensible pourrait fragiliser le déroulement de l’enquête.

Le juriste souligne que le juge intérimaire devrait éviter de prendre des décisions lourdes de conséquences pour ne pas entraver le travail de son futur successeur. « De manière générale, un juge suppléant évite d’agir sur des dossiers complexes pour préserver la continuité des instructions », insiste-t-il, rappelant que la procédure classique exige une audition approfondie sur le fond avant tout placement sous contrôle judiciaire.

La situation est d’autant plus délicate que, d’après L’Observateur, la lourde charge de travail au tribunal de Pikine-Guédiawaye aurait ralenti le rythme des procédures. Ce surplus de dossiers en attente retarderait notamment l’audition de Nabou Leye, dont la convocation serait pourtant « imminente ». Une source judiciaire précise que, bien que chaque juge puisse théoriquement gérer n’importe quel dossier, la complexité de celui-ci justifierait des précautions particulières.

Cette libération provisoire a, par ailleurs, ravivé des inquiétudes quant à la capacité des instances judiciaires à gérer la pression des familles et l’émotion suscitée par ce crime sordide. Les proches des victimes craignent qu’un relâchement dans la gestion de cette affaire ne compromette l’aboutissement de la justice. Au-delà de la libération conditionnelle de Nabou Lèye, c’est toute la procédure d’instruction qui fait aujourd’hui l’objet de débats, avec en toile de fond un système judiciaire aux moyens souvent insuffisants pour répondre aux attentes des citoyens dans des délais raisonnables.

Thiès : une jeune femme meurt après une overdose lors d’une soirée de Kéba Seck, huit personnes arrêtées

Une jeune femme nommée O. Daff est décédée à l’hôpital après avoir été évacuée suite à une crise survenue lors d’une soirée de Kéba Seck à Thiès. Elle aurait succombé à une overdose de la drogue appelée «volet». Selon L’Observateur, huit (8) personnes, dont un musicien bien connu de Thiès, ont été arrêtés par la police et placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête.
 
O. Daff, secouriste de 25 ans à la Croix-Rouge de Thiès, résidant au quartier Mbour 2, avait assisté à la soirée de Kéba Seck. En pleine soirée dansante, elle a succombé à une crise et s’est effondrée dans la foule. La jeune femme est décédée sur le coup.
 
 Selon l’Observateur, après sa chute, ses amis ont tenté de la sauver, mais en vain. Dépassés par la situation, ils l’ont extraite de la soirée et l’ont transportée dans un appartement qui appartiendrait au musicien thiessois Sidy Kâ. Dans ce logement, notre source nous renseigne que ses amis auraient tout fait pour la réanimer, mais sans succès. C’est ensuite qu’ils se sont précipités à l’acheminer à l’hôpital Dixième.
 
Arrivés dans cette structure de santé, le médecin les a automatiquement orientés vers l’hôpital régional El Hadji Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès.
 
Là-bas, les résultats de l’examen du médecin ont conclu qu’O. Daff était déjà morte bien avant même son acheminement à l’hôpital. La dépouille de la victime sera ainsi déposée à la morgue dudit hôpital, rapporte le quotidien du Groupe Futurs Médias.
 
Ses amis, qui l’ont conduite à l’hôpital, ont été ensuite arrêtés par la police ainsi que d’autres individus qui seraient impliqués dans cette affaire. Les 8 mis en cause sont tous placés en garde à vue au Commissariat central de Thiès pour les besoins d’une enquête.