Le top départ de la saison 3 de « The Bachelor Afrique » est donné sur Canal+pop. Cette année, le Sénégal est au centre de l’attention avec le crush des femmes célibataires, Lamine Cissokho. Le surnommé « Prince » dans la série sénégalaise « Impact » est réputé pour son talent dans l’acting. En sus du cinéma, M. Cissokho évolue dans le monde des affaires. Il est banquier, mannequin et est diplômé en droit des affaires.
Au-delà de ses compétences professionnelles, le Bachelor 2024 a un physique à faire tomber les femmes. Il est musclé, élégant, beau et très ouvert d’esprit. Chanceuse sera celle qui sera son choix parmi les 20 femmes de nationalités différentes, dont deux Sénégalaises.
Inculpé par la Division des investigations criminelles (Dic) sur ordre du procureur de la République, l’ex-commissaire l’ex-commissaire Cheikhouna Keita a été placé sous mandat de dépot comme l’a demandé le procureur de la République.
Une information judiciaire est ouverte.
L’inculpé a été arrêté par la Division des investigations criminelles (Dic) sur ordre du procureur de la République. Il avait fait une sortie révélant une supposée bagarre entre le président de la République Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko au palais de la République.
Une video polémique du ministre de la santé Ibrahima Sy est diffusée largement sur les reseaux sociaux qualifié de discriminatoire.
Dans cette vidéo, le ministre, s’exprimant en Pular, aurait déclaré qu’il écarte tout CV dont le propriétaire n’est pas membre du parti Pastef, suscitant une vive indignation. Face aux accusations, Ibrahima Sy a publié un communiqué sur sa page Facebook, précisant que ses propos ont été sortis de leur contexte. Il affirme qu’il privilégie toujours les compétences et l’expérience, et que son cabinet ne contient aucun profil politique. Pour lui, à compétences égales, il n’est pas illégitime de promouvoir un cadre de Pastef.
Cette explication n’a toutefois pas convaincu tout le monde, notamment Birahim Seck, membre influent de la société civile. « Ni les propos du Ministre dans la vidéo, ni ses précisions ne s’inscrivent dans la gouvernance de rupture prônée. Il s’agit là d’une apologie de la patrimonialisation du pouvoir et d’une gestion clanique », a-t-il réagi fermement.
Le président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop, a répondu à la correspondance du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, datée du 10 septembre. Ce dernier l’avait saisi pour « avis » sur la dissolution du parlement, conformément à l’article 7 de la Constitution. L’Observateur qui révèle les teneurs de la correspondance, renseigne que l’avis du Président ne souffre d’aucune équivoque. Dans sa lettre-réponse, le président de l’hémicycle a déclaré : « j’ai honneur de porter à votre haute attention, que je n’ai pas d’objection à une procédure de dissolution dans les termes indiqués par le conseil constitutionnel ».
Après avoir exprimé sa position sur l’éventuelle dissolution de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop a tenu à rappeler au chef de l’Etat, qu’à la date du 06 septembre 2024, vous nous avez notifié par courrier n°000493/PR, la date arrêtée pour la Déclaration de politique générale, soit le 13 septembre 2024 ».
Amadou Mame Diop a tenu à réaffirmer que « l’Assemblée nationale, Institution de la République, demeure disposée à effectuer toutes les tâches au programme de sa présente session extraordinaire tant qu’elle sera habilitée à le faire ».
Pour rappel, cette session extraordinaire décidée par le chef de l’Etat, a été ouverte lundi 4 septembre dernier, alors qu’une motion de censure a été déposée contre le gouvernement de Ousmane Sonko par le coalition Benno Bokk Yakaar.
Avec l’avis de non-objection du Président de l’Assemblée nationale, Bassirou Diomaye Faye est désormais le seul habilité à décider du sort à réserver à la 14éme législature.
Après la publication d’une vidéo, qui est devenue virale, le ministre de la santé, Ibrahima Sy est copieusement critiqué. Cela pour avoir tenu des propos jugés discriminatoires. En effet, le Ministre qui s’exprimait en Pular, dit écarter tout CV dont le propriétaire n’est pas membre du parti Pastef. « Vous savez, personne ne peut forcer personne en matière de politique. Le secret c’est juste avoir une stratégie politique avec une démarche qui peut séduire les personnes afin qu’elles acceptent de nous suivre et partager notre vision. Mais ce n’est pas pour placer les personnes au-devant et ça j’accorde une importance capitale au niveau de mon ministère parce qu’à chaque fois que je reçois des CV la première des choses que je fais c’est de vérifier si le candidat est de Pastef ou pas, parce que ma priorité ce sont les gens de Pastef », a-t-il déclaré en Pular.
Dans la nuit du lundi 9 septembre, Ousmane Sonko, Premier ministre sénégalais, a tenu une rencontre privée avec le Khalife Général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, à Touba. Ce tête-à-tête, entouré d’un mystère certain, s’est déroulé dans la résidence de Darou Miname. La présence restreinte de la délégation, composée d’un ministre et de quelques accompagnateurs proches, laisse entrevoir la sensibilité de la discussion. La rencontre a été fortement encadrée par la garde rapprochée du Premier ministre, renforçant encore plus l’impression de confidentialité autour de cet événement.
Selon certaines sources proches, cette entrevue aurait un lien avec l’affaire très médiatisée de Cheikh Oumar Diagne, un activiste impliqué dans des polémiques récentes au Sénégal. La situation politique et sociale complexe dans laquelle le pays se trouve actuellement pourrait expliquer la nécessité d’un tel échange à huis clos avec le Khalife, considéré comme une figure de grande influence morale et spirituelle. Ce type de rencontres à Touba n’est pas rare dans la sphère politique sénégalaise, où les acteurs politiques cherchent souvent à obtenir les conseils ou la bénédiction des guides religieux pour apaiser certaines tensions.
Toutefois, malgré les nombreuses spéculations sur les raisons exactes de la visite de Sonko, aucune déclaration officielle n’a été faite par le Premier ministre à la sortie de cette rencontre nocturne. Ce silence alimente d’autant plus les débats au sein de l’opinion publique, certains y voyant un tournant majeur dans la gestion de certaines affaires sensibles par l’actuel gouvernement. D’autres estiment qu’il s’agit d’une démarche stratégique pour obtenir le soutien ou l’appui du Khalife dans une période où les tensions socio-politiques sont particulièrement fortes.
La visite de Sonko intervient dans un climat politique tendu, notamment au niveau de l’Assemblée nationale. Le rôle des leaders religieux, en particulier celui de la confrérie mouride, demeure central dans le processus de pacification du dialogue national. Le silence d’Ousmane Sonko après cette audience, tout comme celui du Khalife, ne fait qu’intensifier l’attente autour des retombées potentielles de cette réunion.
Au Sénégal, une semaine tout juste après l’annonce de la disparition programmée de la coalition Benno Bokk Yakaar, de l’ex-président Macky Sall, son ancien Premier ministre et candidat malheureux à l’élection présidentielle 2024 veut avancer : lors d’un meeting lundi 9 septembre, Amadou Ba a annoncé son intention de créer prochainement un parti et a affirmé pour cela vouloir consulter les « forces vives de la nation ».
La premiere grande prise de parole publique d’Amadou Ba depuis sa défaite à l’élection présidentielle en mars 2024 avait aussi des airs de rentrée politique, au Sénégal. Une sortie du silence devant des centaines de militants qu’il justifie par la situation actuelle : « Le Sénégal traverse une période de grandes attentes, de défis économiques et sociaux innombrables. Plus que jamais, l’heure est venue d’agir, non pas avec précipitation, mais avec discernement, méthode et détermination. »
Selon lui, cette action passera par la création de son propre parti, assure l’intéressé : « De nombreux appels ont été lancés pour que je crée ma propre formation politique. Je vous ai entendus ! Et, après mûre réflexion, j’ai décidé de répondre à cet appel. »
« Nous devons tirer les leçons de l’expérience » Benno Bokk Yakaar
Amadou Ba égratigne au passage la coalition Benno Bokk Yakar dont il a pourtant porté les couleurs : « Nous devons tirer les leçons de cette expérience pour bâtir quelque chose de plus fort, de plus sincère et de plus solide. »
Mais avant de créer ce parti, l’ancien Premier ministre compte aller à la rencontre de tous les Sénégalais, partout dans le pays : « Nous allons d’abord dialoguer, rencontrer les forces vives de la nation, ceux qui m’ont soutenu, mais aussi ceux qui ne m’ont pas encore compris ou qui hésitent. J’écouterai tout le monde et je parlerai à chacun. »
Une démarche saluée par Abdoulaye, venu de Podor, à 500 kilomètres de Dakar, exprès pour le meeting : « Si tu n’as pas la capacité de comprendre ce dont les gens ont besoin, tu ne peux pas les gérer. Donc, c’est le bon chemin. »
Un chemin qui pourrait prendre très prochainement la forme d’élections législatives attendues ici par de nombreux soutiens d’Amadou Ba.
Neuf corps, dont celui d’une collégienne de 18 ans, ont été récupérés au large de Mbour, à une centaine de kilomètres de Dakar, après le naufrage de leur pirogue, a annoncé lundi la marine sénégalaise. Une vingtaine de personnes ont pu être secourues, selon les informations de RFI. Le nombre exact de migrants à bord de l’embarcation reste flou mais on estime que des dizaines d’exilés ont disparu dans l’accident.
Le Sénégal est une nouvelle fois endeuillé. Un naufrage s’est produit dimanche 8 septembre au large de Mbour, à une centaine de kilomètres au sud de Dakar, a indiqué lundi sur le réseau social X la marine sénégalaise. Dès dimanche, cinq corps ont été récupérés par des pêcheurs et quatre autres le lendemain par des équipes de sauvetage.
Parmi les personnes décédées, on compte quatre hommes et cinq femmes, dont une collégienne de 18 ans. Selon le préfet du département de Mbour, Amadou Diop, les victimes qui ont pu être identifiées l’ont été comme étant originaires de Mbour.
Selon RFI, 24 migrants ont pu être secourus – les autorités, elles, ont uniquement annoncé le sauvetage de trois exilés. Parmi eux, quatre ont été pris en charge pendant quelques heures à l’hôpital pour des brûlures causées par un mélange d’eau de mer et de carburant, toujours selon RFI. Les autres se sont enfuis en arrivant sur la plage, par crainte d’être arrêtés par les policiers.
Un bilan incertain
Les exilés avaient pris la mer dimanche après-midi depuis la ville côtière de Mbour, dans l’espoir de rejoindre l’archipel espagnol des Canaries. « Un rescapé m’a raconté qu’ils étaient montés dans une petite pirogue vers 15h pour rejoindre une plus grande au large », explique à InfoMigrants Daouda Ba, journaliste à Mbour pour l’agence de presse sénégalaise (APS). Cette technique est de plus en plus utilisée dans la région pour déjouer les contrôles policiers, déployés en nombre le long du rivage.
Environ une heure après le départ, la pirogue a chaviré à seulement quelques kilomètres des côtes. Un mouvement de panique à bord serait à l’origine du drame. Des pêcheurs présents à proximité ont immédiatement porté secours aux naufragés, et récupéré les premières dépouilles.
Lundi après-midi, trois navires de la marine et un avion de surveillance maritime espagnol ont survolé encore la zone pour retrouver d’éventuels survivants.
Le bilan du naufrage pourrait encore s’alourdir. Pour l’heure, on ne sait pas avec certitude combien de personnes avaient pris place dans la pirogue mais on estime qu’elles étaient une centaine, ce qui porterait le nombre de disparus à des dizaines d’exilés.
Les bateaux qui partent des côtes sénégalaises sont généralement surchargés et peuvent contenir jusqu’à 300 migrants.
« C’est une catastrophe qui malheureusement va se reproduire car ces jeunes sont déterminés à partir », affirme à RFI Mohamed Baro, conseiller municipal à Mbour et oncle de l’un des naufragés de 38 ans. D’après le journaliste Daouda Ba, la ville a même été vidée de sa jeunesse : « On ne voit plus de jeunes dans le quartier car la plupart sont partis pour l’Espagne ».
« Votre solution ne se trouve pas dans les pirogues »
Depuis plusieurs années, les départs depuis les côtes sénégalaises ont repris à mesure que les contrôles en Méditerranée se sont intensifiés. Les Sénégalais fuient la pauvreté, le chômage ou l’absence de perspectives d’avenir dans leur pays.
Ils embarquent clandestinement moyennant finances sur des pirogues ou des embarcations précaires, complètement inadaptées à de telles traversées. Il faut au moins cinq jours de navigation pour parcourir les 1 700 kilomètres jusqu’aux Canaries dans des conditions décrites comme terribles par les survivants, à la merci de la faim et la soif, du soleil, des éléments et des avaries.
Les forts courants et les vents violents peuvent aussi faire dériver les embarcations. Début août, une pirogue avec 14 corps « en état de décomposition avancée » a été découverte prés des côtes de la République dominocaine, dans la mer des Caraïbes.Selon les premiers éléments retrouvés à bord, dont des documents d’identité mauritaniens et sénégalais, la pirogue avait pris la route des Canaries avant de dériver de l’autre côté de l’Atlantique.
Selon l’ONG Caminando Fronteras, plus de 5 000 personnes ont péri dans l’Atlantique en tentant de rejoindre les îles espagnoles sur les cinq premiers mois de l’année, soit 33 morts par jour.
Pour tenter d’enrayer ce phénomène, les autorités sénégalaises multiplient les interceptions près de leurs côtes. Mardi, la marine a encore indiqué avoir arrêté deux pirogues transportant plus de 400 « candidats à l’émigration irrégulière dont 20 enfants », au large du Sénégal.
Le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko avait pourtant appelé,début juillet les jeunes à ne pas emprunter la périlleuse route de l’Atlantique vers l’Europe. « Je lance encore un appel à la jeunesse : votre solution ne se trouve pas dans les pirogues », avait-il dit à Saint-Louis (Nord), devant des centaines de jeunes. « L’avenir du monde est en Afrique, et vous devez en être conscients, vous les jeunes. Le seul continent qui a encore une marge de progression et de croissance importante, c’est l’Afrique », avait-il estimé. Sans succès.
Le match Sénégal contre le Burundi, ce lundi 9, comptant pour la deuxième journée des éliminatoires de la CAN 2025 au Maroc, s’est soldé par une victoire des hommes d’Aliou Cissé.
Le Sénégal a eu du mal, surtout en première mi-temps, à se défaire de l’équipe burundaise, très bien organisée tactiquement.
Ce n’était pas un match très plaisant, avec un stade presque vide. Après la rencontre, Aliou Cissé s’est réjoui de la victoire avant d’exprimer quelques regrets, notamment sur la première mi-temps : « Mes regrets concernant ce match sont que l’équipe a trop insisté sur le côté gauche lors de la première mi-temps. »