Dr Abdourahmane Diouf lance un appel à candidature en vue de la nomination du Recteur de l’UCAD

Le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), Dr Abdourahmane diouf  a procédé, ce mardi 29 octobre 2024, au lancement d’un appel à candidature en vue de la nomination du Recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD).

En application des décrets n°2021-846 du 24 Juin 2021 relatif aux modalités de nomination du Recteur dans les universités publiques et n°2021-1500 du 16 Novembre 2021 fixant les règles d’organisation et de fonctionnement de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar, il est lancé un appel à candidature en vue de la nomination du Recteur de l’UCAD.

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Pour port du voile: Des élèves exclues à Fatick

La polémique sur le port du voile dans les établissements catholiques est loin de connaitre son épilogue . Ainsi ce  lundi, plusieurs élèves du collège catholique du Sine, situé à Fatick, se sont vu refuser l’accès à leur établissement. Leurs parents, cités par le quotidien Bès Bi, accusent le principal de l’école d’avoir ignoré l’arrêté publié par le ministère de l’Éducation nationale. Cet arrêté, adopté à l’initiative du Premier ministre Ousmane Sonko, stipule que tous les établissements scolaires, qu’ils soient publics ou privés, doivent permettre aux élèves de porter des signes religieux tels que le voile, la croix ou les perles sacrées, à condition que ces signes n’entravent pas leur identification. Du coté de l’administration du collège , le principal de l’établissement invoque, quant à lui, le non-respect du règlement intérieur concernant le port du voile. Une décision qui a provoqué l’indignation des parents, dénonçant l’attitude de la direction

PORT DU VOILE : UNE ÉLÈVE INTERDITE DE SUIVRE DES COURS DANS UNE ÉCOLE CATHOLIQUE

Le débat sur le port du voile dans les écoles catholiques refait surface. Ceci, malgré l’appel du ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Guirassy, faite ce lundi 7 octobre au collège de la Cathédrale, au respect de toutes les sensibilités pour la préservation de la cohésion sociale.

Selon une mère qui s’est confiée au site d’information PressAfrik, sa « fille a été empêchée de suivre ses cours à cause de son voile » ce mardi 8 octobre au Cours Sainte Bernadette.

« On vient de m’informer que ma fille a été empêchée de suivre ses cours à l’école Cours Sainte-Bernadette. La raison invoquée, quand j’ai posé la question, était que la surveillante avait demandé à ma fille de retirer son voile » a-t-elle dit .

Selon les explications fournies par les autorités de l’école, « l’élève savait que le voile était interdit dans cet établissement. » En effet, selon le proviseur, si l’école savait que l’élève en question était voilée, son inscription n’aurait pas été acceptée. Selon la mère de l’apprenant, sa fille s’est voilée durant les vacances.

Port du voile : l’arrêté disponible, les IA vont l’appliquer

La rentrée des classes prévue aujourd’hui lundi 7 octobre 2024 démarre avec l’application de l’arrêté du Gouvernement qui va exiger à toutes les écoles, privées ou publiques, de conformer leur règlement intérieur aux dispositions de la Constitution. Sans quoi, elles risquent des sanctions.

Une rentrée scolaire à haut risque. La position tranchée du Premier ministre, Ousmane Sonko, de ne plus permettre au Sénégal à certaines écoles d’interdire le port du voile et instruisant le ministre de l’Éducation nationale de prendre un arrêté invitant les établissements scolaires à conformer leur règlement intérieur aux dispositions de la Constitution, pourrait déclencher des hostilités à l’ouverture des classes prévue aujourd’hui lundi.

Cet arrêté du Gouvernement, selon L’OBS, est très attendu par l’ensemble des acteurs du secteur éducatif, surtout par les responsables des établissements catholiques qui se sentent visés par les déclarations du Premier ministre, lors de la réunion interministérielle sur la rentrée concernant le règlement intérieur de certaines écoles privées, qu’il considère comme des écoles «étrangères».

Année scolaire 2024-2025 : l’ouverture des classes fixé au 7 octobre

Le ministre de l’Éducation nationale, Moustapha Guirassy, a officiellement annoncé les dates de la rentrée scolaire pour l’année 2024-2025. Selon cette annonce, la reprise pour le personnel enseignant et administratif est prévue pour le jeudi 3 octobre 2024 à 8 heures précises.

Cette journée marquera le début des activités préparatoires pour les enseignants et les administratifs, qui se réuniront pour des séances de planification et de concertation. Ces réunions auront pour objectif de mettre en place les programmes éducatifs pour l’année à venir, afin d’assurer une rentrée harmonieuse et une année scolaire bien organisée.
Quant aux élèves, ils retrouveront le chemin de l’école le lundi 7 octobre 2024, à partir de 8 heures. Ce retour en classe marque le début d’une nouvelle année d’apprentissage.

CONCOURS GÉNÉRAL: LE PRÉSIDENT DIOMAYE VA PRÉSIDER LA CÉRÉMONIE DE DISTRIBUTION DES PRIX

Les résultats ont été publiés hier au cours d’un point de presse. Cette année, 3203 candidats du Public et du privé étaient en lice dont 1865 filles. Ils ont composé dans 32 disciplines. À l’arrivée, 112 distinctions ont été enregistré. Elles sont réparties comme suit :

– 64 prix et 48 accessits

– 63 distinctions en Première et 49 distinction en Terminale.

Le Ministre de l’Éducation nationale Moustapha Guirassy, face à la presse, a salué la percée du lycée de Thiaroye et a annoncé des innovations dans l’organisation de la cérémonie.

La cérémonie de distribution des prix aux lauréats se tiendra le jeudi 25 juillet 2024 au Grand Théâtre national Doudou NDIAYE Coumba Rose. Elle sera présidée par son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar FAYE.

Le discours d’usage portera sur le thème : « Enjeux, défis et perspectives pour une école au service de la souveraineté nationale ». Le parrain de l’édition 2024 sera connu dans les jours à venir, renseigne le site du ministère de l’Education nationale.

Début ce matin du Bfem 2024 : 191 mille 362 candidats à l’assaut des épreuves

Les épreuves du Brevet de fin d’études moyennes se déroulent ce lundi 22 juillet 2024. Cette année, au total 191 mille 362 candidats sont en lice pour l’obtention du Brevet de fin d’études moyennes (Bfem).On dénombre 110 307 filles et 12 candidats handicapés. Ils sont repartis dans 1152 centres d’examen. Pour l’administration des épreuves, 12 758 enseignants sont mobilisés. Le ministre de l’Education nationale, Moustapha Mamba Guirassy, a indiqué que la digitalisation du processus reste l’innovation majeure. Le ministre a invité les élèves à être concentrés sur les épreuves et éviter l’usage des téléphones portables dans les centres d’examen.

Dahra Djoloff/ fraude au Bac: les huit candidats déférés au parquet de Louga

Au total, ils sont  sept candidats au baccalauréat du  jury 1050 du lycée Ex Cem 1  de Dahra et un candidat  du  lycée Docteur Daouda Sow. Ils  ont été arrêtés   par la gendarmerie de Dahra pour avoir partagé des épreuves  corrigées  de  l’examen dans un groupe WhatsApp. Ces candidats sont  tous déférés  au parquet de Louga ce lundi matin à  l’issue de la durée légale de leur garde à vue. Pour rappel  les mis en cause ont été trouvés en possession de téléphones portables lors des épreuves de langue vivante 2 et  de mathématiques. Un candidat  du jury 1050  en possession d’un téléphone portable connecté à internet a été pris mardi lors de l’épreuve de LV2 par le coordinateur du jury.  Dénoncé, le  malheureux candidat  a été vite conduit à la gendarmerie, son téléphone a parlé et six de ses complices  du même jury ont été cueillis et arrêtés au centre d’examen. Un autre candidat du jury 1047 au centre d’examen  du lycée Docteur Daouda Sow a été arrêté mercredi, ce qui porte le nombre à huit.  Jusque là, les enquêteurs sont  toujours aux trousses du cerveau de ce vaste réseau qui serait un étudiant de la faculté de Droit à  l’UCAD. Quatre autres candidats ont pris la fuite.

Mandat du recteur de l’Ucad : Il n’y aura pas d’appel à candidatures

La nouvelle a de quoi exaspéré davantage le Sudes qui pense que le mandat du recteur de l’Ucad arrive à terme le 22 juillet prochain. Après sa réunion d’hier, le conseil d’administration, saisi par le ministre sur la question, a décidé qu’il n’y aura pas d’appel à candidatures pour remplacer Ahmadou Aly Mbaye dans les prochains jours. 
L’instance a estimé à sa grande majorité (seules deux voix contre) que le décret de 2021 n’est pas rétroactif, il ne peut donc s’appliquer au recteur de l’Ucad qui est à sa 4ème année alors qu’il avait bénéficié d’un mandat initial de 3 ans.
En termes simples, selon cette décision du conseil d’administration, Ahmadou Aly Mbaye reste en poste jusqu’en juillet 2026 qui marque la fin d’un second mandat considéré comme une reconduction tacite. Pour rappel, Ahmadou Aly Mbaye a été nommé en juillet 2020 pour un mandat de trois ans. Entre temps, il y a eu une nouvelle loi sur la gouvernance des universités publiques. 
Si un appel à candidatures avait eu lieu avant juillet 2023, date de la fin du premier mandat, le débat actuel ne se serait pas posé. Mais les autorités de l’époque avaient sans doute estimé que ce n’était pas la priorité, surtout après les attaques du 1er juin subies par l’Ucad. Le Recteur est donc resté au poste un an de plus. 
Et puisque la nouvelle loi prévoit un mandat de 4 ans au lieu de 3 ans précédemment, le Sudes estime que l’année supplémentaire fait partie du premier mandat. Une lecture que ne partage pas le conseil d’administration qui invoque le principe de la non rétroactivité de la loi.