Après le scandale Keur Yeurmandé : une nounou transforme un bébé en objet sexuel
N. S. Faye encourt dix ans de réclusion criminelle. Une peine requise par le Procureur. A la barre de la Chambre criminelle de Dakar, ce mardi, la nounou est poursuivie pour attouchement sexuels commis sur un bébé de sexe masculin de 11 mois.
Dans cette rocambolesque affaire, souligne Les Échos, c’est le voisinage qui a alerté le père du bébé sur les agissements de la nounou embauchée, en novembre 2021. Celui-ci est tombé des nues en visionnant la caméra de surveillance synchronisée avec son téléphone : « Il a vu la nourrice toute nue poser son bébé sur ses seins ensuite sur son sexe ».
P. M. Ndiaye avise son épouse, et le couple retourne en catastrophe chez lui. La nounou sera conduite illico presto à la police.
Placée sous mandat de dépôt depuis le 19 septembre 2021, la prévenue a comparu hier. «Le jour de mon arrestation, le 16 novembre. fai confié l’en-fant a l’autre bonne le temps de prendre mon bain. Entre-temps, elle est partie. A ma sortie, j’étais en serviette. C’est là que j’ai pris le bébé pour lui donner son biberon pour le calmer. Mais je ne sais pas ce qui m’a prise. l’avoue que j’ai exerce des attouchements sexuels sur le bébé, mais je ne l’ai pas déshabille », a-t-elle tenté de se dédouaner.
Ses explications n’ont pas convaincu le Procureur, assénant que « des actes pervers ont été commis » pour « se procureur du plaisir » sur un bébé considéré « comme un objet sexuel ».
L’avocat de l’accusée, Me Omar Diouf, a plaidé la clémence, indiquant que « la partie civile a fait ausculté l’enfant mais aucune anomalie n’a été détectée ».
Délibéré, le 21 mai prochain.
Viol suivi de grossesse : l’élève exhibe la photo de son bébé face au juge
L’enseignant, O. Sow, âgé de 41 ans à l’époque des faits, sera fixé sur son sort le 28 février prochain, date du délibéré de son procès devant le Tribunal de grande instance de Tambacounda. Il risque 10 ans de prison.
Le mis en cause, qui a été placé sous mandat de dépôt en 2018 et qui bénéficie d’une liberté provisoire après 5 ans de détention, a fait face au juge hier. A l’occasion, rapporte L’Observateur, T. D., âgée de 18 ans aujourd’hui, maintenant ses accusations à l’encontre de son maître, a montré la photo de son bébé de sexe masculin aux Juges et au Procureur. Interrogée, elle a aussi fait une description détaillée de la chambre de l’enseignant.
Or, ce dernier soutient mordicus que la plaignante, à qui il donnait des cours particuliers, n’a jamais franchi la porte de la chambre. Il a ainsi sollicité des juges des tests ADN dont les résultats sont toujours attendus.
Le journal souligne que les faits remontent au 5 juillet 2028 : « M. Diop, carreleur de son état, est informé par son épouse que leur fille T. D., élève en classe de CM2 n’avait pas vu ses règles depuis un mois et quelques semaines. Le papa l’ordonna alors de la conduite à l’hôpital dès le lendemain. »
La maman est tombée des nues en découvrant les résultats de l’échographie attestant de l’état de grossesse de la mineure, poursuit la source.
Richard-Toll : Une fille étrangle à m0rt son bébé. Découvrez l’incroyable cause…
C’est une histoire troublante qui suscite l’indignation parmi les habitants de Keur Birane, à Richard-Toll. Une jeune femme de 21 ans, incapable d’identifier le père de son enfant, a étranglé son bébé deux jours après sa naissance.
Célibataire, K. M., âgée de 21 ans, a tenté de dissimuler son crime. Elle s’est rendue dans un établissement de santé de Richard-Toll, prétendant que son nouveau-né était malade. C’est par la suite qu’elle a été démasquée et remise à la brigade territoriale de Richard-Toll , selon les informations de Seneweb.
Mbathio Ndiaye porte plainte contre Bijou Ngoné
Entre ces deux femmes, il est question d’un contrat non respecté. L’artiste Mbathio Ndiaye avait organisé « Un week-end avec Vitrine de Mbathio » les 8, 9 et 10 décembre au Galoya (Dakar).
Pour la logistique de son événement, une foire, elle avait contacté l’animatrice de 2STV, Bijou Diagana, qui s’active également dans ce domaine. Les deux dames se seraient mises d’accord sur toutes les modalités. Sauf que d’après l’organisatrice de l’événement, Bijou Ngoné n’a pas respecté sa parole et se serait engagée la même date pour un autre événement.
« Je l’ai appelée à maintes reprises pour qu’elle me retourne mon argent, mais elle a mis mon numéro sur liste rouge. J’ai dû appeler une autre entreprise pour gérer à sa place ».
Sur ces faits, Bijou Ngoné a été convoquée hier jeudi à la police.
Porta potty – Les révélations d’une femme: « Je veux vous parler de ce qui se passe entre moi et mon homme dans la chambre… »
« Merci de publier anonyme. Moi et mon mari, nous nous sommes connus très jeunes et aujourd’hui, ça va faire environ deux mois que nous sommes mariés. Vous savez, pour moi, c’était déjà difficile de vivre et de pratiquer l’abstinence parce que quoi qu’il en coûte, j’avais déjà eu des rapports dans le passé. Lorsque je l’ai rencontré à l’église, j’ai tout de suite compris qu’il fallait que je fasse tout pour qu’il me prenne au sérieux. Il était tellement mature que lorsqu’il m’a parlé du fait que je devais m’abstenir avant le mariage, je n’ai pas eu la force de lui dire que je ne voulais pas. Je ne voulais pas aussi pas le perdre donc les choses sont conservées ainsi.
Suites en commentaire…Je veux vous parler de ce qui se passe entre moi et mon homme dans la chambre. S’il vous plait, ne me jugez pas parce que ce que je m’apprête à vous dire va vous paraitre vraiment étrange et bizarre.
Je suis X et j’avoue que mes fantasmes font de moi, une personne étrange que tout le monde fui. Plusieurs garçons ne se sont éloignés de moi parce qu’ils me trouvent bizarre à cause de ce que je leur ai demandé de faire lors de nos rapports.
C’est donc dans cette incertitude que j’ai fait la rencontre de Y ; Un homme qui faisait vraiment la différence. C’est en fait lui qui m’a permis de changer un peu d’avis. C’est aussi lui qui m’a montré qu’il m’aimait réellement. La première a choisi qu’il m’a dit et qui m’a fait comprendre qu’il m’aimait réellement, c’est le fait de pratiquer l’abstinence avant le mariage. Il m’a donc promis ne pas me toucher jusqu’à ce qu’il me marie. Mais derrière tout ça, j’avoue que j’avais une grande peur. Puisque mon gros handicap se trouve en réalité sur le lit.
N’ allait-il pas regretter lorsqu’il découvrira mon fantasme? C’est donc ainsi que je pensais jusqu’à ce qu’un jour, monsieur décide de foutre de moi sa femme.
Arrivé dans la chambre, nous avons fini les préliminaires. Aunous avons fini les préliminaires. Au moment où il s’apprêtait à faire la chose, je lui ai dit d’attendre et que j’avais envie de me soulager dans sa bouche. Il s’est tout de suite levé! Tuto je veux un homme qui me comprend parce que je ne peux pas vivre dans un couple et ne pas satisfaire mes fantasmes.
Je suis désolée que mes conseillers »
Pour avoir taxé les maîtres coraniques de violeurs et de pédophiles : l’animateur Assane Masséré s’en sort avec le sursis
Le juge du tribunal des flagrants délits de Dakar a fait, mardi, preuve de clémence en faveur de l’animateur et chroniqueur, Assane Masséré. Prévenu de diffusion de fausses nouvelles à l’encontre des maîtres coraniques, il a récolté six (6) mois assortis du sursis.
Du fond de sa cellule où il était incarcéré depuis une semaine, Assane Masséré a amèrement regretté ses propos tenus à l’encontre des maîtres coraniques lors d’une de ses émissions. Heureusement pour lui, ses regrets qu’il a réitérés, mardi, à la barre des flagrants délits de Dakar lui ont servi car il a bénéficié de la clémence du tribunal.
Accusé de diffusion de fausses nouvelles, il a finalement recouvré la liberté. Néanmoins, il n’a pas été blanchi par le juge car, celui-ci, après l’avoir reconnu coupable dudit chef, l’a condamné à une peine assortie du sursis de six (6) mois. Très suivi sur les réseaux sociaux, l’animateur et chroniqueur, Assane Masséré, avait révélé en pleine émission qu’un marabout lui avait confié qu’il avait un penchant pour ses jeunes disciples. Selon lui, celui-ci lui avait fait la confidence selon laquelle il entretenait des relations sexuelles avec ses talibés.
Appelé par le juge du tribunal à s’expliquer sur ces graves accusations, le prévenu a maintenu ses propos. Toutefois, il soutient n’avoir rapporté qu’une confidence. À l’en croire, c’est l’affaire Serigne Assane Mbacké «Khelcom», du nom du Maître coranique qui a été récemment cité dans une affaire d’acte contre nature, de viol et de pédophilie, qui lui a rappelé cette histoire.
«Je parlais de l’affaire Assane Mbacké ‘’Khelcom’’, un marabout accusé d’acte contre-nature, de corruption de mineur et de détournement de mineur et du coup, mes pensées sont allées vers cette confidence qu’on m’avait faite et je l’ai racontée. Je disais qu’une personne douée de raison n’en était pas capable. Alors j’en ai déduit que c’est peut-être dû aux mauvais esprits mais, je n’ai jamais accusé les maîtres coraniques de violeurs, puisque j’ai parlé d’un seul cas», s’est défendu Assane Masséré.
«Que vous le sachez ou non, vous combattez l’islam en affirmant que les maîtres coraniques sont des violeurs. Vous dissuadez également les parents qui veulent emmener leurs enfants au ‘’daara’’», a pesté le président. À cette perception du juge, le prévenu rétorque que ce n’était pas son intention, car ses propres enfants sont au ‘’daara’’». Assane Masséré a également imploré le pardon au peuple sénégalais.
Convaincu de la constance des faits, le représentant du parquet a requis un mois ferme. Conseil de la défense, Me Idrissa Cissé a relevé que l’infraction est établie certes, mais le prévenu s’est amendé dès le lendemain à travers une vidéo dans laquelle il s’est excusé. Il a sollicité la clémence du tribunal qui après délibéré, a reconnu Assane Masséré coupable de diffusion de fausses nouvelles. Pour la répression, il a été condamné à six (6) mois assortis du sursis.
Indiscipline en milieu scolaire : La faillite des parents, piste d’explications ?
Depuis quelques jours la question de l’indiscipline dans le secteur de l’éducation a refait surface. Le geste déplacé et très osé de certains élèves du lycée de Yoff a remis au goût du jour la lancinante question de la correction, du civisme et du bon citoyen en devenir, dans les établissements scolaires. De plus en plus, le lieu destiné à former le Sénégalais dès sa prime jeunesse et à lui inculquer des valeurs nécessaires pour le développement économique et social du pays, est sujet à des attaques en interne. Comme un cheval de Troie, les élèves, maillons essentiels de la chaine de l’éducation, affaiblissent l’école et ses autorités, à tous les niveaux de responsabilité. Ces jeunes auteurs d’actes délictuels montrent par dessus tout l’échec des parents à donner de la bonne éducation à leur progéniture.
Si elle a encore ressuscité le débat sur la crise d’autorité dans le milieu scolaire, la scène de vandalisme au lycée de Yoff, signalée récemment, n’est que la partie visible de l’iceberg de l’indiscipline qui gangrène de plus en plus le secteur. On a tendance, dans de pareilles circonstances, à fouiller du côté des enseignants ou administrations pour expliquer de tels comportements. Pourtant, la répétition de ces actes peu honorables pour l’image de l’école sénégalaise montre à suffisance que les raisons ne sont pas à trouver de ce côté là ; il faut surtout interroger le milieu social des élèves en question.
La société en miniature, l’école regorge d’élèves en situations sociales et ou économiques difficiles. De plus en plus de jeunes apprenants, en proie à une crise d’adolescence aiguë, échappent au total contrôle de leurs parents et se comportent comme ils désirent. Très susceptibles et parfois en manque de « valeur » aux yeux de leurs camarades, ils ne s’illustrent pas en ayant de bonnes notes dans les évaluations, mais plutôt recourent à des méthodes tout à fait répréhensibles. Même en salle de cours, cette catégorie d’élèves se distingue en montrant un comportement différent des autres, et en se faisant toujours rappeler à l’ordre, et parfois même renvoyer des cours. Cependant, les solutions à l’interne, proposées par les différents règlements intérieurs, ne sont jamais fortes pour remettre ces enfants dans la rectitude.
C’est pourquoi, le diagnostic d’une telle situation doit surtout être fait sur la base d’une étude sociologique. Ce qui fait péter les plombs à ces élèves, c’est moins des raisons endogènes à l’école que des raisons exogènes. Pourtant, c’est pour mieux les orienter que l’État a affecté des psychologues conseillers qui rendent visite aux élèves de temps en temps. Le seul hic est que le travail qui devait être le leur pour aider les administrations à mieux cerner les comportements des potaches n’est pas abattu comme sied. Dans les écoles, le constat est que ces psychologues conseillers insistent plus sur les opportunités d’apprentissage aux élèves candidats (Bac ou Bfem) qu’ils ne donnent d’aide psychologique à proprement parler.
La seule solution qui vaille, face à l’impuissance de l’administration scolaire, c’est de demander aux parents d’insister sur l’éducation de leurs enfants. Au lieu de « monstres »- comme les avait qualifiés le ministère dans une note qu’il a retirée- ces enfants sont de vraies brebis égarées qu’il faut peut-être envoyer dans des centres de redressement. Mieux que la prison à leur âge, ce qu’ils méritent pourtant du fait de l’acte de destruction de biens publics.
Si l’on sait que l’école n’éduque plus, ceci n’est plus sa vocation d’ailleurs avec l’interdiction de la correction physique même à l’élémentaire, on ne peut que compter sur l’éducation sociale des apprenants. La vérité est que même l’instruction dont l’école se charge pour ces enfants est devenue un échec, sinon les connaissances acquises en éducation civique et morale auraient permis à ces petits égarés de s’abstenir de commettre de tels actes.
Tabaski : Des voleurs de bétail (dont deux femmes) bradent des moutons entre 10 000 et 4000 fcfa
Les hommes du commandant de la brigade de gendarmerie de Podor, l’adjudant-chef Ousmane Ndiaye, ont neutralisé un atypique voleur de bétail, qui vendait les moutons pour la Tabaski à des prix défiant toute concurrence.
Une insolite affaire, aux allures de conte de fée, qui risque d’être inscrite en lettres capitales dans les annales des records Guinness et dans les registres de la nouvelle compagnie de Podor dirigée par le capitaine Aboubacary Bâ.
D’après Les Échos, tout commence par une folle rumeur qui circule dans la localité et ses environs immédiats : des moutons vendus à des prix dérisoires variant entre…10.000 et 4.000 F par un jeune homme. Un fait ubuesque qui fait le tour des quartiers.
Les habitants sautent alors sur cette occasion en or et se ravitaillent pour la fête. Tandis que d’autres en paient beaucoup dans le but d’effectuer une opération-Tabaski dans d’autres contrées. Le vendeur, satisfait du geste, leur offre un mouton en guise de bonus.
Ce fut la ruée vers le vendeur de moutons de Tabaski. Mais, intrigués par les prix, certains alertent le commandant de brigade de gendarmerie, qui active ses éléments, dont son adjoint Danfakha.
Ces derniers investissent le secteur, mettent en garde les habitants et installent un dispositif de surveillance. Car, le vendeur va incessamment revenir dans le coin pour rééditer son coup. D’autant plus qu’il vient de réaliser un faramineux chiffre d’affaires.
Vendredi dernier, le bonhomme se pointe à nouveau et dépose son baluchon au quartier Thiofy de Podor. Comme d’habitude, il aménage très vite un emplacement pour son troupeau et reprend ses activités de vente.
Alertés, les gendarmes font irruption sur les lieux et interpellent le jeune homme. Ils embarquent aussi le troupeau composé de 20 moutons et retournent à la brigade.
Ils le fouillent et trouvent sur lui une fausse pièce d’identité appartenant à son transporteur-piroguier mauritanien qui l’aidait à traverser le fleuve Sénégal avec les bêtes pour venir à Podor. Les gendarmes lancent la chasse à l’homme, piègent le piroguier mauritanien et lui passent la paire de menottes.
Quatre receleurs du gang, dont deux jeunes femmes ont été interpellés puis placés en garde à vue. Pris de panique, les habitants du patelin qui ont acheté des moutons de Tabaski auprès du vendeur, craignant d’être interpellés à leur tour, ont abandonné les bêtes dans la rue.
Les gendarmes sont parvenus à en récupérer cinq en divagation. Ce qui fait au total 25 moutons. Tout le gang a été présenté devant le tribunal de grande instance de Podor pour association de malfaiteurs, vol commis en réunion et recel portant sur une trentaine de moutons.
La Séance de mbaxal se transforme en fumoir de yamba: Des filles droguées surprises avec 22 joints de chanvre indien consommés
Une séance de dégustation de «Mbaxal» entre des jeunes filles constituées en majorité d’élèves a finalement viré à une partie d’usage collectif de chanvre indien. Au nombre de quatre, les filles ont été d’ailleurs déférées au parquet.
F.F. Diop âgée de 19 ans, B. Diallo (18 ans) et Nd. Ndiaye, toutes élèves, ainsi que leur amie M. Ndao croupissent actuellement en prison pour détention et usage de chanvre indien. Elles ont été déférées au parquet par les limiers du commissariat de Police de la Médina.
D’aprés L’As, le 28 juin dernier, les filles, au nombre de 05, s’étaient donné rendez-vous au domicile de leur amie vendeuse pour déguster un bon plat de «Mbaxal». Mais ce n’était qu’un prétexte pour la bande des 05 pour griller tranquillement leurs joints de chanvre indien. En effet, un des membres de la bande du nom de F .B .B avait un paquet rempli de cornets de chanvre indien et de pions. Dès qu’elles se sont retrouvées seules, les jeunes filles ont commencé à griller les joints. Elles en avaient déjà utilisé 22. Habitués à roder de jour comme de nuit dans le quartier, les limiers de la Médina effectuent une descente inopinée au domicile de M. Ndao.
Là, les hommes du commissaire Abdou Sarr tombent des nues en entrant dans la chambre où ils sont accueillis par l’odeur du chanvre avant de découvrir 22 cornets de chanvre déjà consommés, et des comprimés de drogue. Cueillies et conduites au poste de Police, les mis en cause ont tenté de nier les faits. La vendeuse M. Ndao soutient que toutes ses amies ont fumé du chanvre indien et que c’est F.B.B qui a apporté la drogue. Un aveu partagé par Nd. Ndiaye. Seulement, leurs autres copines (B. Diallo et F.F. Diop) ont battu en brèche ces allégations. N’empêche, les quatre filles ont été placées en garde à vue avant d’être déférées au parquet pour détention et usage collectif de chanvre indien.