Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye a appris avec une grande tristesse le terrible accident de la route survenu entre Yamong et Mbadianène sur la RN1 non loin de Koungheul.
Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye présente ses sincères condoléances aux familles des victimes ainsi qu’à leurs proches. Aussi, il souhaite un prompt rétablissement aux blessés.
« Je demande à tous les services concernés à se mobiliser pleinement pour apporter leur soutien et assistance aux victimes », demande le chef de l’Etat.
Le président de la République, exhorte tous les acteurs du transport routier à plus de prudence et de respect du code de la route.
« J’instruis les différents services de l’État à veiller au respect des normes techniques des véhicules et des règles de la sécurité routière », ajoute-t-il.
À travers le thème « Une bouche heureuse… Un corps heureux », il s’agit de donner aux personnes les connaissances, les outils et la confiance nécessaires pour garantir une bonne santé buccodentaire. Dans ce sillage, les individus sont invités à agir personnellement, les écoles et les groupes de jeunes à proposer des activités d’apprentissage sur la santé buccodentaire, les professionnels de la santé buccodentaire et la communauté des soins de santé au sens large à éduquer les populations qu’ils servent. Les gouvernements et les décideurs politiques sont appelés aussi à défendre une meilleure santé buccodentaire pour tous.
Au Sénégal, les affections buccodentaires touchent plus de 76 % de la population adulte avec des répercussions négatives sur le bien- être. Il devient ainsi impératif de renforcer la politique de promotion de la santé buccodentaire. Pour ce faire, le ministère de la Santé et de l’Action sociale, à travers un communiqué rendu public, mise sur des stratégies de prévention au sein de la communauté, mais aussi une amélioration de l’accessibilité à des soins de qualité.
Encore des défis à relever
Des défis restent encore à relever en dépit de ces avancées. Il s’agit, entre autres, du déficit de sensibilisation de la population relative aux méthodes de prévention, du financement des activités de la santé buccodentaire, de la qualité des données de routine et de surveillance de qualité pour la promotion de la santé buccodentaire afin de réussir le pari de la réduction de la charge de morbidité des affections buccodentaires par des stratégies adaptées d’un bon rapport coût-efficience pour tendre vers la CSU, de l’exercice illégal de la santé buccodentaire et des pratiques dangereuses liées à la publicité mensongère entraînent de nombreuses disparités dans l’utilisation des services de soins. « Il faut renforcer la sensibilisation sur l’hygiène buccale dentaire, sur les facteurs de risque et sur les mesures de prévention des affections buccodentaires, mais aussi sur les relations santé buccodentaire et santé générale ».
Les acquis Sur les acquis, le texte mentionne que l’État du Sénégal a accompli, depuis quelques années, des efforts considérables pour améliorer l’accessibilité et la qualité des soins dentaires. Et le document de citer le recrutement régulier de chirurgiens-dentistes, le renforcement des équipements dentaires (fauteuils dentaires, appareils de radiographie, autoclaves et d’unités mobiles) ainsi que l’ouverture de services dentaires dans les EPS et les centres de santé. En outre le ministère fait état d’un programme de renforcement de capacités des infirmiers-chefs de poste et des sages-femmes, pour prendre en charge l’urgence des affections buccodentaires initiée depuis 2013 et qui se poursuit dans les régions médicales. Ce programme est une des initiatives de décentralisation-intégration de la santé buccodentaire dans les soins de santé primaires comme recommandé par l’OMS. S’y ajoute, l’orientation des acteurs communautaires et des praticiens de la médecine traditionnelle sur la reconnaissance des signes, les mesures de prévention des affections buccodentaires et particulièrement du Noma ainsi que la promotion du recours précoce aux soins dentaires, la lutte contre le Noma inscrit dans les priorités du ministère de la Santé et de l’Action sociale, la surveillance de cette maladie à déclaration et à éliminer, a permis une prise en charge précoce des enfants touchés et aussi des cas de victimes de séquelles réduisant ainsi la mortalité et le fardeau du handicap social, l’élaboration et la validation du plan stratégique national de la santé buccodentaire aligné à la stratégie régionale et au plan d’action mondial de la santé buccodentaire récemment adoptés par l’Assemblée mondiale de la santé, la mise en œuvre de cette stratégie nationale requiert la contribution et l’engagement de toutes les parties prenantes ayant contribué à son élaboration. À ces réalisations, il est mentionné l’amendement par l’Assemblée nationale du projet de loi n° 14/2022 relatif à l’exercice de la chirurgie dentaire et à l’ordre national des chirurgiens-dentistes.
Les vergetures sont la phobie des futures mamans, qui se montrent très attentives à leur prévention pendant la grossesse. Les vergetures sont des zones de peau au niveau desquelles le derme profond, situé entre l’épiderme et l’hypoderme, s’est déchiré spontanément.
À leur apparition, elles ont la forme de stries ressemblant à des cicatrices en longueur, de couleur rouge violacé et sont inflammatoires. Elles s’éclaircissent avec le temps pour devenir blanches et nacrées, presque de la même couleur que la peau.
Le corps de la femme enceinte est soumis à des changements hormonaux et à une prise de poids rapide : le cocktail idéal pour l’apparition de vergetures sur la peau. En adoptant une bonne routine de soins, vous pouvez limiter le risque d’apparition des vergetures pendant la grossesse et après l’arrivée de bébé. Le point sur les solutions pour les estomper ou apprendre à vivre avec.
Les causes
Les causes des vergetures comprennent :
une origine hormonale : l’apparition de vergetures serait liée à une production trop importante de cortisol ;
un étirement de la peau associé à une production plus importante de cortisol : une prise de poids rapide, la puberté où la morphologie du corps change rapidement ou encore la grossesse, peuvent ainsi associer facteurs hormonaux et étirement de la peau ;
l’application de crèmes contenant des corticoïdes ou une utilisation prolongée de corticoïdes oraux ;
la prise de stéroïdes anabolisants chez les sportifs dans le but de faire augmenter la masse musculaire, en particulier les culturistes1 ;
une peau très fine.
Le corps de la femme enceinte est soumis à des changements hormonaux et à une prise de poids rapide : le cocktail idéal pour l’apparition de vergetures sur la peau. En adoptant une bonne routine de soins, vous pouvez limiter le risque d’apparition des vergetures pendant la grossesse et après l’arrivée de bébé. Le point sur les solutions pour les estomper ou apprendre à vivre avec.
Les causes
Les causes des vergetures comprennent :
une origine hormonale : l’apparition de vergetures serait liée à une production trop importante de cortisol ;
un étirement de la peau associé à une production plus importante de cortisol : une prise de poids rapide, la puberté où la morphologie du corps change rapidement ou encore la grossesse, peuvent ainsi associer facteurs hormonaux et étirement de la peau ;
l’application de crèmes contenant des corticoïdes ou une utilisation prolongée de corticoïdes oraux ;
la prise de stéroïdes anabolisants chez les sportifs dans le but de faire augmenter la masse musculaire, en particulier les culturistes1 ;
Selon l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (Anacim), il y aura la présence d’une couche de poussière dense sur les régions Nord, du centre et du Littoral. Ceci à partir de ce lundi jusqu’au mercredi 21 février.
A toutes les personnes atteintes de maladies respiratoires, prenez vos précautions ces prochains jours si vous habitez dans le Nord, le Centre ou vers le Littoral. Selon l’Anacim, il y aura une couche de poussière assez dense, causé des phénomènes atmosphériques particuliers. La présence de poussière durera jusqu’au mercredi 21 février. Dans les régions mentionnées, la qualité de l’air ne sera donc pas très bonne.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la déficience auditive non soignée a un coût annuel de 980 milliards USD. Ce coût correspond aux conséquences de l’absence d’accès aux soins de réadaptation après une perte, compte tenu des pertes de productivité et de l’exclusion sociale. Il faut noter que plus de 80 % des besoins de soins de l’oreille et de l’audition ne sont toujours pas satisfaits.?
En effet, la déficience auditive non soignée représente un coût annuel de près de 1 000 milliards de dollars US à l’échelle mondiale. À noter que les perceptions erronées profondément ancrées dans la société et les mentalités stigmatisantes sont des facteurs clés qui limitent la prévention et de traitement de la perte auditive selon l’OMS. L’entité souligne par ailleurs qu’« il est essentiel de changer les mentalités pour améliorer l’accès aux soins de l’oreille et de l’audition et atténuer le coût de la déficience auditive non soignée ».
Plus d’un milliard de jeunes risquent d’être sourds par l’utilisation des casques
D’après l’OMS, les statistiques sur la surdité sont en constante évolution. Dans le monde, 360 millions de personnes souffrent de déficience auditive incapacitante, dont 32 millions d’enfants. L’OMS estime que plus d’un milliard de jeunes de 12 à 35 ans présentent un risque accru de développer une déficience auditive en raison de l’utilisation dangereuse d’appareils audio personnels et de l’exposition à des niveaux sonores préjudiciables dans des salles de spectacle bruyantes. Ce risque apparaît dans l’utilisation croissante des smartphones et la pratique de plus en plus en vogue consistant à écouter de la musique avec des écouteurs. Chez l’enfant, l’effet le plus manifeste de la déficience auditive concerne la communication. Les enfants sourds ont un retard d’acquisition du langage sauf si des interventions sont mises en place en temps utile. Et pourtant la tendance actuelle est le casque, les smartphones et autres appareils audio personnels surtout chez les jeunes. Le phénomène a augmenté le nombre de personnes victimes de surdité. 10 millions F CFA pour une implantation d’une surdité profonde Il faut 10 millions pour une implantation d’une surdité profonde. Le problème de la surdité est réel et il faut lancer les débats pour permettre aux enfants qui ont ce handicap de vivre normalement, selon le professeur Issa Cheikh Ndiaye, secrétaire général de la Société sénégalaise d’ORL.
À l’en croire, socialement c’est difficile. Il est très facile de reconnaître un non-voyant et de l’aider, mais on ne reconnaît pas facilement le sourd. Et pourtant, avec la technologie nouvelle il est possible de les aider à être appareillés. Il suffit d’apporter à ses malentendants sourds profonds que des appareils conventionnels ne peuvent guérir une possibilité de se faire une implantation. En effet, il y a une nouvelle technologie qui permet à des sourds profonds d’entendre quand ils ont la possibilité de se payer une implantation. « L’implant est très cher. C’est d’ailleurs pour moi une occasion de lancer un appel au ministère de la Santé, aux mécènes et aux bonnes volontés. Je les invite à être derrière ces familles de sourds qui ont un handicap certes, mais une pathologie traitable », a dit le Pr. Ndiaye.
La surdité est multifactorielle. Elle peut être héréditaire ou liée à des infections comme la méningite, un traumatisme, une tumeur ou des maladies dégénératives. Il y a des surdités qui sont liées à un bouchon. Il suffit de nettoyer les oreilles pour entendre à nouveau. La maladie peut être prise en charge par une intervention chirurgicale. Quand c’est profond et touche le nerf, il faut une implantation et ça donne une réussite extraordinaire explique le secrétaire général de la société sénégalaise d’ORL.
La révolution du numérique continue de la belle manière au Sénégal car l’impact de sa nécessité se fait sentir dans presque toutes les sphères de la vie économique et sociale. Pour preuve, plusieurs secteurs font appel à la Société Sénégal Numérique.SA, comme celui de la santé dont les plus hauts responsables ont compris l’impérieuse nécessité de digitaliser les services. Le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale piloté par le Dr Marie Khemesse Ngom Ndiaye a ainsi signé une convention de partenariat avec Sénégal Numérique SA dirigé par Cheikh BAKHOUM pour une durée de trois ans.
Cette importante convention rendra plus efficace et plus efficient le traitement des dossiers administratifs et permettra plus de célérité et de rapidité dans la gestion des patients et dans l’orientation du dossier médical avec tact et précision.
Au cours de la rencontre devant leurs équipes respectives et les journalistes, les deux autorités ont assuré la volonté de mener à bien cette mission qui tient à cœur le Président de la République, Macky Sall, qui a eu à évoquer ce sujet dans plusieurs discours à la Nation. Dans son discours du nouvel an le 31 décembre 2022, le Chef de l’Etat a demandé une digitalisation intégrale du système sanitaire en précisant qu’ »il nous faut impérativement réformer et améliorer la gouvernance du secteur, afin de la rendre plus efficace et plus transparente ».
Il faut dire également que cette collaboration, bien ancienne, entre les deux entités va être mieux structurée et renforcée dans cette nouvelle convention cadre de partenariat. « La Senum Sa soutient le MSAS depuis plusieurs années dans la connectivité et l’hébergement des données de Santé par la mise à disposition de l’internet dans les structures sanitaireset les services de prestations de soins. Notre département a encore besoin aujourd’hui plus qu’hier de l’appui de la Senum SA. En effet nous sommes dans une phase accélérée de la transformation digitale de la Santé, conformément aux instructions de Monsieur le Président de la République », a dit le Ministre. Ne dérogeant pas à ces principes du numérique pour tous et partout, le DG Cheikh BAKHOUM s’engage avec ses équipes à appuyer le ministère. « La technologie a le pouvoir de transformer radicalement la prestation des soins de santé en rendant les services plus accessibles, plus efficaces et orientés vers le patient. Cette convention représente une étape majeure de notre engagement à moderniser et à numériser le secteur de la santé digitale. Sénégal Numérique s’engage ainsi à appuyer la mise en œuvre de la stratégie de la transformation digitale, l’hébergement des données des applications du ministère au Datacenter national, la fourniture et l’amélioration de la connectivité des structures de santé, la numérisation et la sauvegarde des archives du ministère entre autres » dit-il.
Il faut dire qu’avec cette signature, la paperasse de dossiers médicaux entre les mains d’un patient ou sur la table de son médecin traitant, les lenteurs dans le traitement des dossiers de soins, la gestion administrative de certains courriers entre les agents eux-mêmes, avec des partenaires ou structures, seront bientôt un mauvais souvenir selon le Secrétaire général du Ministère, Dr Abib Ndiaye. Le département ministériel de la santé compte également saisir les opportunités offertes par l’arrivée des technologies émergents telles que l’intelligence artificielle et a déjà démarré la phase pilote de digitalisation des systèmes de santé dans certaines régions comme Dakar, Diourbel, Saint Louis, Matam, Tambacounda…
https://6c0d7006aff984425201328111b9f0aa.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-40/html/container.htmlLa révolution du numérique continue de la belle manière au Sénégal car l’impact de sa nécessité se fait sentir dans presque toutes les sphères de la vie économique et sociale. Pour preuve, plusieurs secteurs font appel à la Société Sénégal Numérique.SA, comme celui de la santé dont les plus hauts responsables ont compris l’impérieuse nécessité de digitaliser les services. Le Ministère de la Santé et de l’Action Sociale piloté par le Dr Marie Khemesse Ngom Ndiaye a ainsi signé une convention de partenariat avec Sénégal Numérique SA dirigé par Cheikh BAKHOUM pour une durée de trois ans. Cette importante convention rendra plus efficace et plus efficient le traitement des dossiers administratifs et permettra plus de célérité et de rapidité dans la gestion des patients et dans l’orientation du dossier médical avec tact et précision.
Au cours de la rencontre devant leurs équipes respectives et les journalistes, les deux autorités ont assuré la volonté de mener à bien cette mission qui tient à cœur le Président de la République, Macky Sall, qui a eu à évoquer ce sujet dans plusieurs discours à la Nation. Dans son discours du nouvel an le 31 décembre 2022, le Chef de l’Etat a demandé une digitalisation intégrale du système sanitaire en précisant qu’ »il nous faut impérativement réformer et améliorer la gouvernance du secteur, afin de la rendre plus efficace et plus transparente ».
Il faut dire également que cette collaboration, bien ancienne, entre les deux entités va être mieux structurée et renforcée dans cette nouvelle convention cadre de partenariat. « La Senum Sa soutient le MSAS depuis plusieurs années dans la connectivité et l’hébergement des données de Santé par la mise à disposition de l’internet dans les structures sanitaireset les services de prestations de soins. Notre département a encore besoin aujourd’hui plus qu’hier de l’appui de la Senum SA. En effet nous sommes dans une phase accélérée de la transformation digitale de la Santé, conformément aux instructions de Monsieur le Président de la République », a dit le Ministre. Ne dérogeant pas à ces principes du numérique pour tous et partout, le DG Cheikh BAKHOUM s’engage avec ses équipes à appuyer le ministère. « La technologie a le pouvoir de transformer radicalement la prestation des soins de santé en rendant les services plus accessibles, plus efficaces et orientés vers le patient. Cette convention représente une étape majeure de notre engagement à moderniser et à numériser le secteur de la santé digitale. Sénégal Numérique s’engage ainsi à appuyer la mise en œuvre de la stratégie de la transformation digitale, l’hébergement des données des applications du ministère au Datacenter national, la fourniture et l’amélioration de la connectivité des structures de santé, la numérisation et la sauvegarde des archives du ministère entre autres » dit-il.
Il faut dire qu’avec cette signature, la paperasse de dossiers médicaux entre les mains d’un patient ou sur la table de son médecin traitant, les lenteurs dans le traitement des dossiers de soins, la gestion administrative de certains courriers entre les agents eux-mêmes, avec des partenaires ou structures, seront bientôt un mauvais souvenir selon le Secrétaire général du Ministère, Dr Abib Ndiaye. Le département ministériel de la santé compte également saisir les opportunités offertes par l’arrivée des technologies émergents telles que l’intelligence artificielle et a déjà démarré la phase pilote de digitalisation des systèmes de santé dans certaines régions comme Dakar, Diourbel, Saint Louis, Matam, Tambacounda…
Dans un communiqué lu par Seneweb, le centre hospitalier Abass Ndao informe la communauté, en particulier les parents et les enfants en attente de dialyse, que l’appareil de dialyse a été réparé avec succès. Un progrès significatif vers la normalisation des soins, grâce à une collaboration fructueuse avec Carrefour Médical, un partenaire spécialisé dans la maintenance des équipements médicaux. Dans le communiqué, le directeur de la structure hospitalière renseigne que l’appareil est à présent pleinement opérationnel et la continuité des soins est garantie. Ainsi, au vu des efforts consentis dans la réparation immédiate de l’appareil de dialyse, le directeur de l’hôpital Abass Ndao exprime sa gratitude envers Carrefour Médical pour sa réactivité et son expertise technique, tout en saluant ses équipes internes pour leur coordination efficace. Pour rappel, il y a deux jours de cela, le docteur Moustapha Diop, directeur de la Lutte contre la maladie, avait lancé un SOS informant que « la seule machine qui fait la dialyse pour les enfants à l’hôpital Abass Ndao est malheureusement tombée en panne».
L’ésese, aussi appelé 4 côtés est le fruit du tetrapleura tetraptera. Utilisé en médecine traditionnelle, le tetrapleura tetraptera est connu pour ses nombreux bienfaits dans les traitements de certaines maladies comme l’asthme, le diabète, l’hypertension, le mal de dos, les règles douloureuses ou les démangeaisons vaginales. C’est aussi un contraceptif et un bon soin pour la peau. On l’utilise comme épice dans les sauces et d’autres préparations. Très efficace aussi contre les démangeaisons vaginales, il permet de donner une bonne odeur intime à la femme grâce à son parfum.
L’arbre peut atteindre 25 mètres de haut avec une cime ouverte et un fût court. Ses fruits sont des gousses de couleur pourpre à brun foncé, composées de quatre côtes saillantes pouvant atteindre 20 cm de long et 5 cm de large. Ses graines sont ovales, plates et noires.
Pour la santé intime
Dans une casserole d’eau, ajoutez l’ésese et laissez bouillir entièrement. Faites son bain intime avec. Buvez-en, il nettoie de l’intérieur et favorise la fertilité. Il est aussi utilisé par certains peuples en Afrique pour traiter la stérilité chez les femmes.
Lutte contre les problèmes de règles douloureuses
Lutte contre les fibromes
Lutte contre les myomes
Lutte contre les kystes
Nettoie le ventre de toute impureté
Les trompes bouchées
Les troubles de règles
Les règles noirâtres
Traite la stérilité
Mode d’utilisation:
Démangeaison vaginales et odeurs intimes
Dans une casserole d’eau, ajoutez l’ésese et laissez bouillir entièrement. Faites son bain intime avec le mélange obtenu.
Stérilité et problème d’ovulation, règles douloureuses, fibrome, myome, kyste, trompe bouchée, troubles des règles, règles noirâtres.
Certains peuples en Afrique l’ont longtemps pour traiter la stérilité chez la femme. Buvez-en, il nettoie de l’intérieur et favorise la fertilité. Trempez le 4 côté dans 1 litre et demi d’eau et attendez 24 h buvez un demi verre le matin et soir, faites un lavement 1 jour sur 2. Une semaine après, le faire 3 fois en espaçant d’un jour.
Une tumeur maligne de l’ovaire est une masse cancéreuse qui peut se propager à d’autres parties du corps (métastases).
On classe les tumeurs malignes de l’ovaire selon le type de cellules dans lequel le cancer prend naissance. Pourtant, il est bien plus meurtrier, avec 3500 décès annuels car environ 3 cancers des ovaires sur 4 sont découverts à un stade avancé. Et pour cause : il n’a pas de symptômes spécifiques. Néanmoins, certains signes doivent vous alerter.
Elles se développent à partir des cellules superficielles des ovaires et touchent davantage les femmes ménopausées et leur diagnostic est souvent tardif. Plus rarement, les cancers ovariens naissent des cellules impliquées dans la production des ovules. Il s’agit alors de tumeurs « germinales ». Elles concernent généralement les femmes non-ménopausées.
Les facteurs de risque
Le facteur de risque le plus important de développer un cancer des ovaires est le fait d’avoir des antécédents familiaux de cancer du sein ou des ovaires chez des parentes du premier degré. On peut en citer aussi la ménopause à base d’œstrogènes, le tabagisme et l’exposition à l’amiante.
D’autres facteurs de risque, tels que l’absence ou le faible nombre de grossesses, des premières menstruations précoces, ou une ménopause tardive sont également suspectés.
Les signes qui doivent vous alerter
Les cancers de l’ovaire entraînent peu de symptômes ou des symptômes qui peuvent être liés à tout autre chose. C’est pourquoi ils sont souvent diagnostiqués tardivement, à un stade déjà avancé. Cependant, parmi les symptômes les plus cités par les femmes ayant été victimes d’un cancer des ovaires, figurent :une douleur pelvienne ou abdominale persistante, ballonnements et/ou flatulences, des mictions (besoin d’uriner) plus fréquentes ou plus urgente, voire une incontinence urinaire, des difficultés à manger ou à ressentir la sensation de satiété et enfin des troubles ou changements digestifs
D’autres symptômes ont été rapportés même s’ils sont moins fréquents . Parmi eux nous pouvons citer une prise ou une perte de poids inexpliquée, une masse volumineuse sur l’ovaire, des saignements en dehors des règles ou après la ménopause, des douleurs dorsales, des indigestions ou nausées et une fatigue persistante Il est important de préciser que la majorité des femmes présentant ces symptômes n’auront pas de cancer des ovaires, mais il vaut mieux toutefois en parler avec un médecin.
Après l’hôpital militaire de Ouakam qui a réussi la première greffe rénale au Sénégal, l’hôpital Cheikh Ahmadoul Khadim de Touba entre dans l’histoire médicale du pays. La structure est pionnière du traitement endovasculaire d’un anévrisme cérébral.Une première au Sénégal réussi grâce à la neuroradiologie interventionnelle. Il s’agissait d’un anévrisme géant de la terminaison carotidienne droite associé à une fistule carotido-caverneuse chez un adulte jeune de 30 ans qui habite à Touba et pour qui la chirurgie classique était impossible, lit-on dans le communiqué de la structure. Cette intervention a été possible grâce à l’accompagnement de l’équipe du service de neurologie interventionnelle du CHU de Caen en France et à la dextérité de l’équipe locale composée du Dr Papa Ibrahima Ndiaye chef du service de neurochirurgie de l’hôpital Cheikh Ahmadoul Khadim, du Pr Ndaraw Ndoye, du cardiologue Dr Moustapha Fall, de l’anesthésiste Dr Mactar Dieng entre autres.
Le traitement endovasculaire ou embolisation est une technique mini invasive. C’est une alternative thérapeutique qui ne se fait qu’en Europe ou aux États Unis. Elle coûte environ 23 millions nonobstant les frais de voyage et de séjour. En effet, « trois patients ont été diagnostiqués à l’hôpital Cheikh Ahmadoul Khadim. Un jeune de 30 ans qui a été opéré ce matin, une jeune fille de 14 ans qui sera opérée demain et un troisième de 56 ans qui par ses propres moyens est parti se faire prendre en charge en France. Les deux patients sont pris en charge gratuitement », renseigne le document. Qui ajoute que « cette intervention a été possible grâce au plateau technique de dernière génération de l’hôpital. L’équipe du CHU de Caen a mis gratuitement à la disposition de l’hôpital des consommables d’une valeur d’environ dix millions ».
C’est un pas de plus pour le système de santé du Sénégal vers l’amélioration de l’offre de soins et la disponibilité de soins pointues qui permettent de réduire les évacuations sanitaires. « Après cette première mission, d’autres suivront pour renforcer la performance des praticiens mais il est aussi prévu des formations complémentaires d’autres neurochirurgiens pour augmenter le nombre de spécialistes à Touba et dans les autres hôpitaux du Sénégal pour assurer la prise en charge des patients qui en ont besoin ici au Sénégal », lit-on dans le communiqué. Pour rappel, l’hôpital Cheikh Ahmadoul Khadim, ouvert depuis un peu plus d’un an, progresse rapidement vers l’ouverture et la fonctionnalité de tous ses services. Dernièrement il a réalisé ses premiers actes de cardiologie interventionnelle et compte d’ici le premier trimestre 2024 ouvrir son unité de prise en charge des grands brûlés.