Covid-19sn: 31 nouveaux cas communautaires rapportés ce lundi

Au total, 31 nouveaux cas de la maladie à coronavirus ont été rapportés ce lundi par le ministre de la Santé et de l’Action sociale sur 933 tests réalisés, soit un taux positivité 3.32 %.  Ces nouvelles infections sont toutes issues de la transmission communautaire. 
Le bulletin quotidien consacré à l’évolution de l’épidémie du coronavirus souligne, à ce sujet, que 25 patients suivis sont contrôlés négatifs et déclarés guéris. 

La même source indique qu’aucun cas de décès n’a été enregistré au cours des dernières 24 heures.  A ce jour 86.822 cas ont été déclarés positifs dont 84.628 guéris 1 968 décès 225 sous traitement. 

Le nombre total de personnes vaccines est 1 494 208 vaccinés

Covid-19sn: 48 nouveaux cas enregistrés ce vendredi

Le ministère de la Santé et de l’action sociale a rapporté ce vendredi, 48 nouvelles contaminations liées à la covid-19 sur 916 tests réalisés. Ce qui équivaut à un taux de positivité de 5,24%.

Il s’agit de 02 cas importés enregistrés au niveau de l’AIBD et 46 cas sont issus de la transmission communautaire, répartis comme suit : Région de Dakar de : 42, 37 cas dans le département de Dakar, 03 cas dans le département de Pikine, 01 cas dans le département de Keur Massar, 01 cas dans le département de Rufisque et autres Régions: 04.

Par ailleurs, 21 patients suivis contrôlés négatifs et déclarés guéris. Aucun cas grave n’a été pris en charge dans les services de réanimation et aucun cas de décès enregistré ce jeudi 14 juillet 2022. L’état de santé des autres patients hospitalisés est stable.

A ce jour, 86 679 cas ont été déclarés positifs dont 84 556 guéris, 1 968 décédés, et donc 154 sous traitement.

Le nombre total de personnes vaccinées est de 1 494 081, selon le ministère de la Santé qui exhorte les populations au respect des mesures de prévention individuelles et collectives.

Mort de François Mancabou ; son épouse retrace ses dernières confidences et attise le feu

Alors qu’on n’a pas encore fini d’épiloguer sur l’évasion de Pape Mamadou Seck, présumé membre des «Forces spéciales», l’on annonce encore la mort d’un des leurs du nom de François Mancabou. Surnommé «Vieux Gradé», il a rendu l’âme avant hier, mercredi, à 22 heures 40 minutes, révèle le médecin capitaine de l’hôpital principal de Dakar. Selon le certificat de genre de mort délivré par ledit hôpital, François serait mort accidentellement. Les résultats de cet avis de décès suscitent beaucoup de controverses. Les analyses et les réactions vont bon train.

Au moment où les gens réclament que les circonstances de sa mort soient élucidées et l’ouverture sans délais d’une enquête impartiale, son épouse Clémentine Coly est revenue, à travers une vidéo, sur les derniers mots que son défunt époux lui a confié.

«J’ai accouru à l’hôpital. Arrivée, j’ai salué le médecin de garde, j’ai décliné mon identité. Je lui ai fait savoir que je suis Mme Mancabou et qu’on m’a dit qu’il y a urgence. Quand j’ai tourné la tête, j’ai vu que mon époux était sur une chaise roulante, la tête inclinée. J’ai vu que le sang coulait sur lui, beaucoup de sang même. Aussitôt, j’ai pris un rouleau de mouchoir à côté pour essuyer le sang. Quand je l’ai appelé Franc, il m’a répondu mais il parlait moins fort. Il m’a dit “tu as vu ce qu’ils m’ont fait”. Je lui ai répondu “calme-toi je suis là”», a-t-elle raconté dans ladite vidéo qui fait le tour des réseaux sociaux.

Poursuivant ses confidences, la désormais veuve de François Mancabou révèle avoir vu des points de suture sur sa tête lorsqu’elle nettoyait le sang. À l’en croire, son époux lui a fait savoir qu’il a été torturé. «Tu as vu, on m’a torturé».

Clémentine Coly d’ajouter : «lorsque j’ai entendu les médecins me dire qu’il est tout le temps dans le coma, ces derniers jours et à chaque fois que je me suis rendue à son chevet, je l’ai vu dormir branché de partout, j’ai compris que je devais me préparer au pire. Maintenant, il s’est reposé».

Forte hausse des cas de covid-19: 53 nouvelles infections rapportées ce mercredi

Alors qu’on comptait une vingtaine de cas dans la semaine qui a précédé la fête de Tabaski (Eid El Kebir), ce mercredi après cette période de grand rassemblent et déplacements massifs des populations à l’intérieur du pays, les nouvelles infections liées à la maladie au coronavirus dépassent la cinquantaine au Sénégal. 

Le ministère de la Santé et de l’Action sociale rapporte ce jour 53 cas de covid-19, sur les 808 tests réalisés,  soit un taux de positivité de 6,55%

Ces nouvelles contaminations sont toutes issues de la transmission communautaire dont 46 dans le département de Dakar, 02 cas dans le département de Pikine, 01 cas dans le département de Keur Massar, 03 cas à Thiès (Mbour), 01 cas à Kaffrine.

Le document émanant du ministère de la Santé et de l’Action sociale souligne que 23 patients ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris ce mercredi.

Aucun cas grave n’a été pris en charge dans les services de réanimation.

Aucun cas de décès n’a été enregistré ce mardi 12 juillet 2022:

A ce jour, 86 594 cas ont été déclarés positifs dont 84517 guéris, 1958 décédés, et donc 108 patients sous traitement.

Le nombre total de personnes vaccinées est de 1 493 952.

L’hôpital de Kolda inondé (Vidéo)

L’hôpital régional de Kolda a été complètement inondé par la pluie de ce vendredi 08 juillet. La forte pluie est entrée partout, bloquant l’accès aux différents services et voies d’entrée. D’ailleurs et pire encore, les salles de patients sont remplies d’eau. Et actuellement, l’heure est à l’évacuation de ces eaux.

Il faut rappeler que ces derniers temps les travailleurs dénonçaient l’état désastreux de l’hôpital. Et cette inondation de l’établissement illustre parfaitement leur cri du cœur.

Aujourd’hui, cet hôpital a besoin de travaux de réhabilitation aussi bien de l’infrastructure que du plateau technique…

Covid-19- Sénégal : 15 nouveaux cas communautaires ce mardi

Au total, 15 nouvelles contaminations ont été rapportées durant les dernières 24 heures par le ministère de Santé et de l’Action Sociale sur 411 tests réalisés, soit un taux de positivité de 3.64%. 

Ces nouveaux cas sont tous issus de la transmission communautaire dont 13 dans le département de Dakar, 01 dans le département de Guédiawaye et 01 dans le département de Keur Massar. 

Le bulletin quotidien du MSAS consacré à l’évolution de l’épidémie dans le pays ajoute que 16 patients suivis contrôlés négatifs et déclares guéris. La même source de souligner qu’ aucun cas de décès n’a été hier ce lundi 11 juillet 2022. 

A ce jour, 86541 cas ont été désirés positifs do 84494 guéris, 1968 décédés, et donc 78 sous traitement.  Le nombre total de personnes variées est de 1493 290.

Concert lors du décès des 11 bébés : Ousmane Sonko déclaré persona non grata à Tivaouane par…

L’affaire des 11 bébés décédés dans un incendie survenu, la semaine dernière, au niveau de l’unité de néonatologie de l’hôpital Mame Abdou Aziz Dabakh de Tivaouane, refait parler d’elle.

À travers un communiqué, la jeunesse de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) de la ville sainte a «condamné fermement l’attitude» du leader de Pastef qui, selon elle, a organisé un grand concert à Ziguinchor en plein deuil national suite au décès de ces nourrissons.

«Cette activité récréative, organisée au moment où le peuple sénégalais observe un deuil national, démontre qu’Ousmane Sonko est loin d’être un homme d’État», ont-ils déclaré, ce jeudi, dans les colonnes de Source A.

Ils ajoutent : «Nous déclarons Ousmane Sonko persona non grata dans le département de Tivaouane à l’occasion des élections législatives».

Pour ces jeunes de la coalition présidentielle, le député de l’opposition «a dévoilé à la face du monde qu’il est un homme dépourvu de sens élevé de responsabilité. Ousmane Sonko doit immédiatement cesser de lorgner le fauteuil présidentiel».

Car, de leur avis, «les 20 millions décaissés de la mairie de Ziguinchor pour rémunérer le rappeur Nit Doff pourraient être investis pour changer le visage des rues et avenues récemment rebaptisées par le maire populiste Ousmane Sonko».

Hôpital de Tivaouane : L’intersyndicale du personnel observe un arrêt de travail et exige la libération des agents arrêté

L’hôpital Mame Abdou Aziz Sy Dabakh de Tivaouane est loin de retrouver son calme habituel. Après l’inhumation des 11 bébés qui ont perdu la vie suite à un incendie au service de néonatalogie, deux agents de santé qui étaient de garde la nuit du drame, sont interpellés en plus du Drh de la structure. Ce lundi, les travailleurs en soutien à leurs collègues, ont observé un arrêt de travail.

«  La raison de notre sit-in d’aujourd’hui est liée à l’injustice qui s’est abattue sur le personnel de travail notamment la garde à vue (…) de trois de nos collègues (Awa Diop sage-femme, Coumba Mbodji infirmière et Cheikh Diop, directeur des ressources humaines). Aujourd’hui nous sommes plus que jamais engagés à soutenir nos frères qui sont dans les liens de la détention; c’est arbitraire et nous pensons qu’ils sont des victimes expiatoires », s’insurge le délégué l’intersyndicale Sidi Lamine Ndoye.

En effet, « Depuis  que les événements se sont passés  dans cette ville, vous n’avez pas vu l’intersyndicale parler. On attendait que les choses se précisent davantage pour ne pas faire une déclaration qui ressemblerait à une sorte d’intimidation sur les affaires de justice, même si nous n’avons pas ce pouvoir de le faire ; on a été très calmes, on a assisté nos frères qui ont été injustement interpellés dans des conditions d’interrogation un peu difficiles allant de 16 h jusqu’à 4 h du matin, parfois de 4 h jusqu’à 16 h du soir. Ils ont résisté et ils ont été dignes devant ces enquêteurs », indique Sidi Lamine Ndoye.

« Mise en danger de la vie d’une personne »

Quid des accusations de « Mise en danger de la vie d’une personne » portées à leur encontre ? « Cela veut dire qu’ils sont à l’origine de la mort de ces 11 bébés, ce que nous ne pouvons pas du tout accepter », fulmine le responsable syndical. « Parce que tout simplement ils étaient de garde au moment de l’incendie. Comme je l’ai dit, ce ne sont pas des sapeurs-pompiers qui sont habilités à éteindre un feu, ayant subi une formation professionnelle de plusieurs années, ayant les équipements de protection nécessaires pour faire face au feu. Quelle est aujourd’hui la blouse blanche qui a aussi les mêmes compétences que les sapeurs-pompiers ? Depuis quand les blouses blanches sont devenues des sapeurs-pompiers pour éteindre un feu d’une telle ampleur ? », s’interroge-t-on dans les rangs des professionnels de santé.

« L’hôpital Mame Abdou Aziz Sy Dabah est malade »

Selon l’intersyndicale, les problèmes de l’hôpital dépassent cet incendie. Sidi Lamine Ndoye parle d’un hôpital qui n’existe que de nom où les agents sont mal lotis.

Il s’explique : « Il faut qu’on soit sérieux, cet hôpital est un hôpital malade, le marabout l’a dit depuis 2019. Vous allez voir des rats qui jouent la nuit, l’installation est mauvaise. Au début, c’était un centre de santé qui avait prévu un nombre limité de médecins et pas de spécialiste ; aujourd’hui c’est devenu un hôpital de dimension même de niveau 3. De 4 médecins, nous sommes à une douzaine de spécialistes et de 4 professeurs, les travailleurs sont engagés. Je vous dis que 40% du personnel de l’hôpital Abou Aziz sont composés d’agents qui ont un salaire de 4000 fr. Ils n’ont aucun statut, pas d’avance tabaski ; et on veut faire porter le chapeau à ces personnes malheureuses, nous ne l’accepterons pas ! »

L’intersyndicale, face à la presse, a exigé la fin des arrestations de membres du personnel.  Pour eux, les autorités veulent sacrifier le maillon faible de l’hôpital que sont les sages-femmes et autres personnels : « Les interpellations doivent cesser. Tivaouane mérite un hôpital digne de ce nom. Au niveau local, nous avons décidé de paralyser le système départemental. Nous ne sommes pas responsables »

Faux médicaments : Saisie record d’une valeur d’un milliard 500 millions Fcfa

Le bouclage des couloirs et réseaux de trafics illicites se poursuit. Des dizaines de colis et des centaines de cartons et boites contenant divers types de médicaments ont été saisis par la Brigade mobile des Douanes Nº 2, Subdivision des Douanes de Dakar-Extérieur, Région douanière de l’Ouest;.

L’opération visant à boucler les réseaux de receleurs et commanditaires de ce trafic criminel s’est déroulée les mardi 24 et mercredi 25 mai 2022 entre les zones maritimes de Thiaroye-Guédj et le quartier Thiaroye-Gare.

Le coup de filet a d’abord permis aux agents des Douanes d’intercepter un véhicule « taxi bagages » bourré de colis suspects le mardi 24 mai 2022 vers 4 heure du matin à Thiaroye-Guédj et d’appréhender deux individus dont un qui s’est présenté comme étant le propriétaire de la cargaison.

Le contrôle des colis a permis de découvrir qu’il s’agit de grosses quantités de médicaments dont le conditionnement et l’humidité ne laissent aucun doute sur le fait que la marchandise a d’abord été transportée par voie maritime.

L’interrogatoire des deux prévenus et les enquêtes menées par la suite ont permis la localisation du dépôt de destination de ladite marchandise aux environs du Marché de Thiaroye dans un endroit communément appelé Parc-Rénn.

Les agents qui se sont déportés sur les lieux ont constaté, en présence du propriétaire, l’existence d’un stock de plusieurs cartons, sacs et autres contenants de médicaments.

L’ecor de la totalité de la marchandise saisie (à bord du véhicule et dans le dépôt) et l’évaluation menée conjointement par des représentants de la Direction de la Pharmacie et du Médicament, de l’Ordre des Pharmaciens du Sénégal ainsi que du Syndicat des pharmaciens privés font état de divers types de faux médicaments composés d’antalgiques, d’antiacides, d’anti-inflammatoire, d’anti-diarrhéiques, de multivitaminés, d’antibiotiques, d’injectables, d’antipaludéens, d’antimycosiques, d’antianémiques, d’aphrodisiaques et des dispositifs médicaux, d’une contrevaleur estimée à 1 150 000 000 de francs CFA. L’enquête suit son cours.

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