Reddition des comptes : Ousmane Sonko annonce le début de la traque cette semaine

Le premier ministre donne date pour la traque pour la reddition des comptes. « Elle va démarrer cette semaine.. », informe Ousmane Sonko qui s’adressait au personnel de la primature ce mercredi. En effet, le chef du gouvernement précise que c’est une volonté de rendre service au peuple sénégalais qui veut savoir comment les deniers publics ont été gérés.

« Les gens ne peuvent pas se permettre, à coups de milliards, sur le foncier, sur les marchés publics, les marchés placés secret défense, sur les concessions et j’en passe… amasser des milliards et en sortir indemnes. D’ailleurs, nous avons pris des mesures conservatoires pour que ces gens ne puissent sortir du pays » a indiqué le premier ministre qui informe prendre toutes les dispositions pour que cet argent puisse revenir au peuple. 

Doudou Wade, ancien président du GP Libéral : « la motion de censure peut se tenir en 5 jours »

Lors de la deuxième session extraordinaire de l’année 2023-2024 avec la tenue de la séance plénière sur le projet de loi 11/2024 portant révision constitutionnelle, l’assemblée nationale a rejeté la suppression du conseil économique, social et environnemental (Cese) et le haut conseil des collectivités territoriales (Hcct). 83 députés ont voté contre la dissolution de ces deux institutions contre 80 favorables. Mais le tournant de cette plénière, est la motion de censure annoncée par le député, président du groupe parlementaire BBY, Abdou Mbow.

La motion de censure a été la résultante du débat qui s’est déroulé hier à l’assemblée nationale lors de l’examen du projet de loi 11/2024 portant révision constitutionnelle. En effet, il faut rappeler qu’il y a 30 membres de la commission des lois qui, dans sa composition originelle, est toujours composée de 16 du pouvoir et de 14 de l’opposition. Cette dernière s’entend ici, au moment où on le faisait, le Yewwi et le Wallu. Dans cette composition, la majorité parlementaire a eu gain de cause en rejetant le projet de loi constitutionnelle par 16 commissaires contre 14. Mais comme la commission est une émanation de la plénière, on pouvait s’attendre à ce que la plénière accepte la demande de la commission.

La discussion en plénière s’est engagée et chacun a donné sa position avant le vote qui s’est terminé à main levée. Selon l’ancien président du groupe parlementaire libéral, « Benno Bokk Yakaar à l’issue du vote s’en est sorti grandi car, au-delà des 81 députés au départ, elle a engrangé deux voix » notamment celle de Mariétou Dieng de Rewmi et de Alassane Ndoye de Wallu. Doudou Wade, s’exprimant au bout du fil de Dakaractu, a indiqué que « l’Apr est plus homogène, plus soudé et plus conquérant.

Le député Seydou Diouf, devant le pupitre, a posé au ministre de la justice la question de savoir : à quand la promulgation de la loi organique relative au règlement intérieur de l’Assemblée nationale ? « Certains qui se disent experts nous disent que le conseil constitutionnel a un mois pour statuer. En effet, le conseil constitutionnel en l’espèce, n’a pas un mois. Il a un mois quand il s’agit d’un recours en constatation d’une loi déclarée inconstitutionnelle ou en contrôle de contrariété en ce qui concerne des engagements internationaux. Mais pour le contrôle de conformité, le conseil constitutionnel n’a pas un mois. La preuve, la loi organique relative au conseil constitutionnel a été adoptée ici à l’Assemblée nationale le 28 juin et le 8 juin, le conseil constitutionnel l’a déclaré conforme » disait hier, le député Seydou Diouf qui s’est par ailleurs, étonné qu’une révision de la constitution soit faite à la place d’une déclaration de politique générale qui serait plus pertinent pour tracer la feuille de route du gouvernement.

La situation de la modification du règlement intérieur adopté par 163 députés sur 165, qui était censé envoyé chez le président de la république et au conseil constitutionnel pour avis de conformité. A en croire Doudou Wade, « si la loi n’était pas promulguée, il y aurait un blocage. La motion de censure a été rendue possible grâce au débat parlementaire. Maintenant, qu’adviendra la motion de censure. Si elle est déposée et que la session extraordinaire soit convoquée, pour qu’elle puisse se tenir. Je pense que le groupe de la majorité parlementaire est assez fort pour convoquer la session extraordinaire. Mais en cinq jours, la motion de censure doit pouvoir se tenir ». Doudou Wade de poursuivre que, « le bureau de l’Assemblée peut convoquer et il ne pense pas que le bureau puisse refuser une réunion de parlement pour la motion de censure. D’ailleurs, se serait, dira-t-il, « mettre à l’œuvre les autres membres du bureau qui ne sont pas de la majorité parlementaire. Le quorum atteint on démarre, pas atteint on se réunit le lendemain quel que soit le nombre de députés présents ».  Alors cette motion de censure évoquée dans la constitution par l’article 86, se tiendra-t-elle avec le premier ministre ou sans le premier ministre ? La réponse de l’ancien président de groupe parlementaire libéral est sans équivoque : « Il fait savoir que c’est une obligation pour le PM de déférer à la convocation de l’Assemblée nationale. Mais dans ce cas, il faut s’attendre à ce que d’autres personnes soient convoquées par la justice ou même par le gouvernement et qu’elles n’y défèrent pas… », a-t-il indiqué.

TOUBA- Porté disparu : N. Sow retrouvé à la morgue

L’information sur sa disparition circulait sur la toile depuis le 20 août 2024.  Les annonces et autres techniques de recherches n’avaient rien donné jusqu’à hier . En effet, le jeune Ndiouga Sow, ou du moins son corps sans vie , a été retrouvé dans la morgue de l’hôpital de Touba. Les premières approches parlent d’accident . L’enfant aurait été percuté par un véhicule.Le  chauffard aurait choisi de prendre la poudre d’escampette, laissant derrière lui une victime inerte. Ndiouga a, ensuite , été récupéré par les sapeurs pompiers. Rien sur lui n’indiquant son identité, il était impossible d’informer ses parents . Ironie. du sort , l’un d’entre eux , la maman plus précisément , officie dans la structure hospitalière.

FOCAC | BASSIROU DIOMAYE FAYE S’EST ENTRETENU AVEC XI JINPING

Le Président de la République Son Excellence Bassirou Diomaye s’est entretenu, mercredi, avec le président chinois, Xi Jinping, à Beijing, à l’occasion du Sommet 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA) et une visite d’Etat, rapporte Xinhuanet.

« Notant que la Chine et le Sénégal sont des amis et des partenaires sur la voie du développement et du renouveau nationaux, M. Xi a déclaré que la coopération bilatérale avait obtenu des résultats tangibles et bénéficié aux deux peuples au cours des dernières années », renseigne la source.

La Chine est disposée à œuvrer avec le Sénégal pour réaliser leur modernisation respective et à porter le partenariat de coopération stratégique global entre les deux pays à un nouveau niveau, a indiqué M. Xi. Fin

Dérives de Cheikh Omar Diagne : Bougane tire des boulets rouges et parle d’attaques “sataniques “

Le président du mouvement Gueum Sa Bopp les “Jambaars” n’a pas trop attendu pour apporter une réplique acerbe à l’endroit de Cheikh Omar Diagne . Ce dernier à lors de ses sorties , tenir des paroles  jugées blasphématoires  envers la communauté mouride .

Ci dessous la réaction du président Bougane Gueye Dany

Fatwa sur un rejeton rejetable et rejeté.

Nocif et nuisible, le PR Diomaye en le nommant à cette station avalise les prises de position du damné de la Présidence.

Suite aux attaques sataniques et aux critiques démoniaques du soit disant Docteur, Professeur, menteur Oumar Diagne contre Serigne Touba et ses vidéos virales contre les tarikhas, le silence de Diomaye devient complice.

Ce mutisme présidentiel confirme que Sonko et Diomaye soutiennent les activités subversives de Oumar Diagne contre nos tarikha.

Admettons-le, cette collusion prouve que les nouvelles autorités cherchent à nous imposer leur «islam » au Sénégal contrairement aux options de nos vénérés guides religieux .

L’heure du « dakhwa » tant claironné a sonné pour les égarés. De toute façon, le peuple s’y opposera par tous les moyens.

Au moment où le Maroc s’apprête à lancer sa première cimenterie au Sénégal, le sbire Oumar Diagne brille de par son inélégance intolérable envers Rabat !

Diomaye cautionne-t- il les monstruosités de ce monsieur devenu aujourd’hui l’homme le plus impopulaire au Sénégal après SONKO?

Les talibés, toutes obédiences confondues doivent sévir… Car, se permettre d’associer des signes maçonniques aux Grandes mosquées de Touba et de Dakar est un sacrilège qui exige que son auteur soit publiquement lapidé.

Na ci ñepp barkelu Murid amoul lou ëpp serigne Touba.

Bougane Guéye Dany

Mouvement Gueum Sa Bopp «les jambaars »

Les députés de Benno Bokk Yaakaar ont déposé leur motion de censure

Les divergences politiques au Sénégal franchissent un nouveau seuil avec le dépôt, par les députés de Benno Bokk Yaakaar, d’une motion de censure visant le gouvernement d’Ousmane Sonko. La décision a été confirmée lors de la séance plénière de ce lundi, marquant un tournant significatif dans la politique sénégalaise.

Abdou Mbow  président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yaakaar, a pris la parole en fin de séance pour annoncer que la motion de censure serait officiellement déposée dès ce mardi sur le bureau du président de l’Assemblée nationale, Amadou Mame Diop. Cette démarche représente un effort concerté des membres de la majorité présidentielle pour obtenir la démission du gouvernement dirigé par Ousmane Sonko.

La décision de déposer cette motion de censure est intervenue dans un contexte de turbulences politiques croissantes, avec des critiques croissantes envers la gestion actuelle du gouvernement. Les députés de Benno Bokk Yaakaar, visiblement déterminés à mettre fin à ce qu’ils considèrent comme une gouvernance inefficace, espèrent que cette action suscitera un soutien suffisant au sein de l’Assemblée pour faire tomber le gouvernement en place.

Fruit 4 côtés pour les soins et la fertilité et féminine

Le fruit 4 côtés, encore appelé ésese, et de son nom botanique Tetrapleura tetraptera est l’un des rares fruits sur toute l’étendue de l’Afrique subsaharienne, à être utilisé à la fois dans la médecine traditionnelle mais aussi en tant qu’épice culinaire.

En plus de ses vertus anti-inflammatoires, antimicrobiennes et antioxydantes, il est également riche en minéraux (zinc, cuivre, magnésium, sodium, manganèse).

Le 4 côtés a une saveur et un arôme assez doux, mais typique lorsqu’on l’intègre à toutes préparations (culinaires comme curatives).

Nous vous le proposons ici venant du Bénin, fourni par des femmes herboristes aguerries dans la médecine traditionnelle liée à l’intime féminin.

BIENFAITS DU FRUIT 4 COTES

Le fruit 4 côtés est principalement utilisé en médecine traditionnelle pour ses vertus sur la santé intime féminine:

  • soulage grandement les règles douloureuses et constitue une piste auprès des scientifiques pour soulager les maux liés à l’endométriose
  • intervient en curation dans le traitement des maux gynécologiques tels que les kystes utérins, myomes, fibromes et trompes obstruées.
  • lutte contre les démangeaisons vaginales et pertes blanches
  • assainit l’appareil intime féminin afin de limiter les effluves malodorantes.

Il intervient dans le traitement de la stérilité mais de façon particulière:

il faut en faire une cure pour assainir la matrice féminine pendant 3 mois au moins, puis en arrêter totalement la prise au moment de la conception. Le 4 côtés ne doit donc pas être consommé en même temps qu’on cherche à concevoir, mais plutôt avant (il était d’ailleurs utilisé comme contraceptif à une époque par les femmes en Afrique de l’Ouest).

Au-delà de ces soins liés à l’intime féminin, les vertus de l’ésese s’étendent également:

  • à la stabilisation de la pression artérielle pour ce qui est de l’hypertension
  • pour ce qui est de l’asthme
  • en soin de la peau, pour la fortifier.

CONSEILS D’UTILISATION

Pour une utilisation liée à l’intime:

Concassez votre fruit 4 côtés (50 à 60g environ), le rincer et faire bouillir environ 15 min dans 1,5 l d’eau.

Laissez infuser 24h, puis filtrer avant de consommer cette préparation.

Buvez un verre de cette préparation en alternant tous les 2 jours à raison de 3 fois par semaine, et ce tout le temps de votre mal, mais n’excédez pas un mois.

Interrompez le traitement le temps de vos menstruations, car cela peut entraîner des coulées abondantes.

Ne jetez pas votre fruit, qui sera gorgé d’eau, car il est utilisable une seconde fois.

Pour certaines personnes, en début de prise, il se peut que vous ressentiez de la gêne, de la nausée ou encore que vous vomissiez.

Ne vous en inquiétez pas, cela passera au bout de 2 à 3 prises. Si cela continue, arrêtez pour un temps puis recommencez le mois suivant.

Vous pouvez également utiliser cette préparation en bain intime pour ce qui est des démangeaisons vaginales et pertes blanches.

Le 4 côtés est pour la plupart du temps utilisé en synergie avec d’autres plantes réputées de l’intime.

Pour les infections intimes:

De par ses vertus anti-inflammatoires, il entre en synergie avec le colle serrer, les baies de selim l ainsi que les feuilles de Djeka.

Pour l’odeur intime:

Le 4 côtés entre en synergie avec les graines de nep nep et de gongoli 

Pour les douleurs menstruelles:

Il entre en synergie avec les feuilles de Djeka et le Gongoli 

Pour prendre soin de votre peau:

Faire fondre du beurre de karité et y faire infuser à chaud un petit bout de 4 côtés.

Une fois refroidi et solidifié, vous pouvez vous servir de ce beurre de karité comme crème du soir sur votre corps.

Autres utilisations:

Le 4 côtés, une fois moulu ou haché, est utilisé comme épice en Afrique subsaharienne, en l’ajoutant dans des plats en sauce ou encore dans des marinades.

On lui prête également des vertus protectrices du mal lorsque le 4 côtés est brûlé comme encens dans le foyer.

PRECAUTIONS

Ne pas utiliser chez la femme enceinte, ni chez les enfants de moins de 15 ans.

Risque de nausée et/ou vomissements en début de prise comme soin interne, sans risque réel, du fait du temps d’adaptation.

Demandez l’avis de votre médecin pour tout usage, prolongé ou combiné à d’autres actifs.

A conserver dans un endroit frais et sec et à l’abri de la lumière.

La corruption, problème majeur des jeunes en Afrique et motif d’émigration selon une étude

Les jeunes en Afrique jugent que la corruption menace leur avenir et pourrait, pour 60% d’entre eux, les pousser à émigrer, selon un sondage mené auprès de 5.600 d’entre eux dans 16 pays du continent et publié mardi.

La corruption est « au coeur des préoccupations de la jeunesse » et est considérée comme le plus grand obstacle à leur développement personnel et à une vie meilleure, souligne la Ichikowitz Family Foundation, basée à Johannesburg, qui a commandé ce sondage auprès de 5.604 jeunes âgés de 18 à 24 ans.
Selon les résultats de cette étude, à l’ampleur sans précédent en terme de personnes interrogées et de zone géographique ciblée selon la fondation, la plupart des jeunes « ne croient pas que leurs gouvernements fassent suffisamment pour endiguer ce fléau ».
« Par conséquent, près de 60% d’entre eux envisagent d’émigrer au cours des cinq prochaines années », selon cette étude publiée à l’issue d’entretiens en face-à-face menés par le groupe PSB Insights en janvier et février dans des pays allant de l’Afrique du Sud à l’Ethiopie.
L’Amérique du Nord figure parmi les pays les plus cités pour émigrer, suivi par les pays d’Europe occidentale comme le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne ou l’Espagne.
« Ils veulent des sanctions plus lourdes contre les hommes politiques corrompus, notamment une interdiction d’assumer des fonctions politiques, et une autre forme de gouvernement », selon l’étude intitulée « Etude sur la jeunesse africaine en 2024 ».

Même si près des deux-tiers des personnes interrogées croient en la démocratie, près de 60% d’entre elles se disent en faveur d’une forme de gouvernement « d’inspiration africaine ».
Près d’une personne sur trois pense que des systèmes non-démocratiques, issus d’un régime militaire ou d’un parti unique, pourraient être préférables dans certaines circonstances.
La plupart des jeunes interrogés (72%) estime que l’influence étrangère est un problème. « Ils sont inquiets que leurs pays soient exploités par des entreprises étrangères, en particulier concernant les richesses minérales naturelles exportées sans aucun bénéfice pour les habitants », selon l’enquête.
82% d’entre eux considèrent l’influence de la Chine comme étant positive; 79% disent la même chose pour les Etats-Unis.
Les perceptions de l’influence de la Russie se sont accrues, notamment au Malawi et en Afrique du Sud avec plus de la moitié d’avis positifs concernant l’approvisionnement russe en engrais et céréales.
Cette étude, menée pour la première fois en 2020, vise à « à donner la parole à la jeunesse africaine de manière scientifique », a déclaré à l’AFP le directeur de la communication de la fondation, Nico De Klerk. Il fournit également des données utiles aux gouvernements, aux ONG et aux investisseurs.

Près de 420 millions de jeunes âgés de 15 à 35 ans, dont un tiers est au chômage, vivent en Afrique et ils devraient être plus de 830 millions à l’horizon 2050, selon la Banque africaine de développement.

Vladimir Poutine arrive en Mongolie, premier déplacement dans un État membre de la CPI

Le président russe Vladimir Poutine est arrivé ce lundi en Mongolie, selon la télévision russe, marquant son premier déplacement dans un pays membre de la Cour pénale internationale (CPI) depuis l’émission d’un mandat d’arrêt à son encontre.

La CPI et les autorités ukrainiennes ont appelé la Mongolie à arrêter Vladimir Poutine , visé par ce mandat pour des suspicions de déportation illégale d’enfants ukrainiens vers la Russie, mais le Kremlin avait noté ne pas avoir « d’inquiétude » à ce sujet. Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, avait toutefois noté la semaine dernière que le Kremlin n’avait pas d’inquietude a ce sujet

Obligation de coopération

« Bien entendu, tous les aspects de la visite ont été soigneusement préparés », avait-il ajouté. Comme tous les autres États parties au Statut de Rome qui a fondé la CPI, la Mongolie « a l’obligation de coopérer » avec elle, avait déclaré à la presse un porte-parole de cette juridiction, Fadi el-Abdallah. Quand un pays membre ne remplit pas ses obligations vis-à-vis de la CPI, cette dernière peut saisir l’Assemblée des États parties qui se réunit une fois par an mais dont les éventuelles sanctions se limitent essentiellement à une remontrance verbale.

Dans le passé, d’autres individus faisant l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour, comme l’ex-dictateur soudanais Omar el-Béchir, se sont rendus dans des pays signataires du Statut de Rome, sans être inquiétés. La Mongolie l’a pour sa part signé en 2000, avant de le ratifier en 2002.