« Affaire des lasers ».. Les Égyptiens choqués par la position de la FIFA !

Le directeur exécutif de la Fédération égyptienne de football, Walid Al-Attar, a confirmé que la Fédération internationale de football (FIFA) n’a pas fixé encore la date de la réunion de sa commission d’éthique pour statuer sur la plainte déposée par l’Egypte contre le Sénégal.
Ce silence de l’instance faitière du football mondial a choqué les égyptiens, surtout que cette dernière a donné suite favorable à la réclamation de la Fédération algérienne de football, qui sera étudiée le 21 avril prochain. 
Tout porte à croire que la Fédération internationale de football (FIFA) n’est pas vraiment convaincue de la plainte déposée par les égyptiens, surtout que le match n’a pas été entaché de graves erreurs arbitrales.

Pour rappel, Fédération égyptienne de football prépare déjà un recours auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS), au cas où la FIFA ne prendrait pas en considération sa plainte. 


 Il y a lieu de rappeler que la seconde manche entre les « Lions » et les « Pharaons » a été marquée par une utilisation abusive des lasers, ce qui a amené l’instance chargée de gérer le football égyptien à saisir la FIFA.
Affaire Sonko : Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye ne seront pas seules avec le juge

Adji Sarr et Ndèye Khady Ndiaye sont attendues ce jeudi à partir de 10 heures dans le bureau du doyen des juges. Elles devraient se soumettre à une confrontation croisée dans le cadre de l’instruction de l’affaire Sweet Beauty.

Selon le journal Libération, Adji Sarr, qui accuse Ousmane Sonko de viol et menaces de mort, et Ndèye Khady Ndiaye, son ex-patronne à Sweet Beauty, où se seraient déroulés les faits visés, ne seront pas seules dans le bureau du magistrat instructeur. L’époux de cette dernière sera également de la partie, selon le quotidien d’information.

La même source croit savoir que cette audition groupée s’explique par le fait que beaucoup de contradictions auraient été relevées entre les déclarations des trois concernés. Le trio a été déjà entendu, séparément, sur le fond du dossier.

La date de l’audition d’Ousmane Sonko, principal mis en cause dans cette affaire, n’est pas encore connue.

Libération informe que le leader de Pastef était vendredi dernier dans le bureau du doyen des juges pour satisfaire à l’une des obligations de son contrôle judiciaire.

EXCLUSIVITÉ / l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga: le dg limogé

Au-delà des poursuites pénales qui pèsent sur sa tête en tant qu’autorité morale, le directeur de l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga peut faire ses valises . Ainsi , notons que les dés sont jetés pour le Dr Amadou Guèye Diouf par ailleurs directeur de l’hopital Amadou Sakhir Mbaye . Ce dernier àa été démis de ses fonctions. La décision a été actée en conseil des ministres ce mercredi.

Mbour: le poisson, un produit introuvable

En cette période de Ramadan à Mbour, les vendeurs de poisson sont très inquiets de la situation actuelle en mer. En effet, c’est utopique d’avoir du poisson pour des raisons climatiques et de l’invasion des bateaux étrangers. Ce manque, combiné avec la période de Ramadan où le produit est très prisé, a vu les prix passer du simple au triple.

Hôpital Aristide Le Dantec : Un projet de réfection de 60 milliards de F Cfa validé par le chef de l’État

L’hôpital Aristide Le Dantec (HALD)  est totalement inadapté aujourd’hui. La vétusté de la structure expose les 90 praticiens, 3000 étudiants, 2500 usagers et autres infirmiers et agents qui fréquentent ou travaillent dans l’établissement. Les différents services menacent ruine. L’hôpital a fêté ses 100 ans en 2012. « C’est pourquoi depuis 2005, un travail acharné de tout le personnel médical et paramédical avait abouti au projet d’établissement 2014-2018, validé et arrimé à un projet de reconstruction de l’hôpital sur le même site et en mode phasage. La maquette et le plan architectural ont été validés et présentés au Président de la République Macky Sall en 2014, qui l’avait intégré dans le Plan Sénégal Émergent PSE » a notifié professeur Madieng Dieng, pendant une rencontre avec la presse que les chefs de service de cet hôpital ont tenu pour interpeller le Chef de l’Etat sur l’urgence d’agir. Le coût global est estimé à 60 milliards de nos francs.  Du fait du retard noté dans la reconstruction, le projet d’établissement est, actuellement, en cours de réactualisation. Cette mise à jour du projet d’établissement coïncide avec un besoin croissant d’adapter les équipements médico-techniques aux progrès et innovations technologiques contemporains. C’est d’ailleurs un des objectifs de ce projet à savoir le relèvement du plateau technique pour permettre aux praticiens d’exercer pleinement leur art et par ricochet réduire le coût excessif des évacuations sanitaires, renseigne toujours le professeur Dieng.   L’HALD dispose d’une trentaine de spécialités (médicales, chirurgicales, et d’aide au diagnostic). Il possède l’un des plus gros potentiels de ressources humaines sur le plan médical de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Et paradoxalement, il est dans un état de décrépitude avancé. L’HALD n’est plus en mesure de remplir ses missions d’hôpital universitaire (soins, enseignement, formation, recherche).

Pour une affaire de « ndogou » : La « ñarèle » assène 17 coups de couteau à la « awoo »

Tout le personnel de santé présent lors du décès de Astou Sokhna est suspendu « à titre de mesures conservatoires ». L’information est donnée par la RFM. Cette suspension, rapportent nos confrères, va durer le temps de l’enquête.
Cette durée peut aller jusqu’à 10 jours. Il s’agit des aides-soignants et de l’infirmière. Nos confrères affirment qu’au moment où ces lignes sont écrites, le gynécologue est en train d’être auditionné.
Pour rappel, le ministre de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr,

clinique Suma Assistance : Comment un aide-infirmier a introduit son doigt dans les …

Alors qu’on n’a pas encore fini de parler sur l’affaire Astou Sokhna, la femme enceinte décédée à l’hôpital Amadou Sakhir Mbaye de Louga, voilà un autre fait qui risque encore de faire du bruit.

Il s’agit d’un aide-infirmier qui a violé une patiente en filmant la scène. Le scandale s’est produit à la clinique Suma Assistance. Selon ‘’Les Echos’’ qui donne la nouvelle dans sa parution de ce mercredi, M. Traoré, puisque c’est de lui qu’il s’agit a introduit son doigt dans les parties intimes de la dame, venue faire une consultation, pendant près d’une minute.

Inculpé et placé sous mandat de dépôt pour viol et collecte de données à caractère personnel, le mis en cause a reconnu les faits, c’est-à-dire les attouchements et l’enregistrement vidéo. Il sera déféré au parquet.

Le journal renseigne que la victime présumée, M. S., est la fille d’un chef d’entreprise réputé. Elle s’était rendue à Suma Assistance pour une consultation. Seule avec M. S dans la salle de consultation, M. Traoré lui a alors demandé de soulever sa robe. La dame s’exécute.

Activités non productives : Les Sénégalais gaspillent 17 heures par jour

17,4 heures d’activité non productive, c’est en moyenne ce que le Sénégalais passe dans une journée de 24 heures. Seulement 4 heures sont consacrées à la production. Voilà ce qu’il faut retenir de l’Enquête nationale sur l’emploi du temps au Sénégal. L’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) a publié les résultats de cette étude hier.

«Un Sénégalais passe 17,4 heures dans des activités non productives et 4 dans des activités productives.» C’est la principale information de l’enquête sur l’emploi du temps que l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) a présentée hier. Dans le pré rapport, il est noté que la femme passe «1,6 heure dans les emplois et activités connexes, alors que les hommes sont à 3 heures».
Dans l’ensemble, précise le document, le temps moyen que les Sénégalais passent dans une catégorie d’activités varie avec l’âge. Lorsqu’il s’agit d’une activité productive, selon le Système de comptabilité nationale (Scn), le temps moyen passé dans ces activités augmente entre 15 et 54 ans et diminue au-delà (55 ans ou plus). Ainsi, il passe de «2,8 heures chez les 15-24 ans à 5,2 heures chez les 35-54 ans, puis de 4,4 heures chez les 55-64 ans à 2,9 heures chez les 65 ans ou plus. La même tendance est observée chez les hommes et chez les femmes. Cependant, le temps moyen que les hommes sénégalais accordent aux activités productives en une journée dépasse celui des femmes sénégalaises à tous les niveaux d’âge».

Utilisation du temps et productivité par statut d’occupation professionnelle
Les salariés accordent en moyenne 7,2 heures aux activités productives, selon le Scn, contrairement aux sans-emplois qui n’utilisent que 36 minutes de leur journée pour ces activités, renseigne le document.
Concernant les activités productives hors Scn, «un constat contraire est observé. En effet, les sans-emplois y consacrent en moyenne 3,4 heures de leur journée, tandis que les salariés y passent moins de 2 heures. S’agissant des activités non productives, les Sénégalais y passent plus de 15 heures de temps, quel que soit leur statut d’occupation professionnelle. Suivant le sexe, on constate que les femmes et les hommes sans emploi accordent peu de temps aux activités productives, selon le Scn, respectivement 35 minutes (0,6 heure) et 38 minutes (0,63 heure)». L’étude sur l’emploi du temps au Sénégal précise qu’une situation similaire est constatée chez les femmes et les hommes salariés, qui consacrent plus de six heures à ces activités (6,1 heures et 7,7 heures respectivement). Toutefois, s’agissant des travailleurs indépendants, «ceux de sexe masculin passent plus de 2 heures que les femmes dans les activités productives (7,2 contre 4,5 heures). Chez les autres personnes en emploi, l’écart est de plus de 3 heures».

Temps moyen d’activités rémunérées et non rémunérées
«Les Sénégalais passent en moyenne 3 heures dans les activités rémunérées, contre 3,6 heures dans les activités non rémunérées», constate le document. Qui a détaillé ceci : «Comparés aux femmes qui passent 2 heures dans les activités rémunérées, les hommes y consacrent 2 fois plus de temps (4,2 heures). Concernant les activités non rémunérées, les femmes y passent 2,5 fois plus de temps que les hommes. Autrement dit, les femmes consacrent 5 heures par jour aux activités non rémunérées contre 2 heures pour les hommes. Par ailleurs, les femmes consacrent 21% de leur temps à des activités non rémunérées, contre 8% à des activités rémunérées. Chez les hommes, ces proportions sont de 18% pour les activités rémunérées et de 9% pour les activités non rémunérées.»

CDP : une structure de recrutement dans la pornographie signalée au Sénégal
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CDP : une structure de recrutement dans la pornographie signalée au Sénégal

La Commission de protection des données personnelles (CDP) a enregistré un signalement bien étrange. Selon le journal Les Échos de ce mercredi, les services d’Awa Ndiaye, la présidente, ont reçu une plainte de P. M. S., qui leur signale l’existence d’une structure basée au Sénégal et spécialisée dans le recrutement de jeunes dans la pornographie.

Aucun détail n’est donné sur l’adresse de la structure ni sur la nature exacte de ses activités. Les Echos s’est contenté d’ajouter que la CDP, conformément à la loi sur les données personnelles, a transmis le dossier au procureur de la République et à la Division spéciale de la cybersécurité (DSC) de la police.