Un violent accident s’est produit dans la nuit de jeudi à vendredi, impliquant des motos Jakarta et une voiture « War Gaindé » de marque Peugeot 307. La collision, survenue à hauteur de Louga, a causé la mort d’un jeune de 16 ans sur le coup et a laissé un autre blessé grave.
Les jeunes conducteurs de motos ont pris le départ à 4 kilomètres de Louga, plus précisément à Ibra Marame, pour une course entre jeunes, rapporte la radio ZIK FM.
Les habitants de Louga déplorent ces courses improvisées souvent organisées par des jeunes, parfois âgés de moins de 15 ans, qui se terminent fréquemment par des accidents graves voire mortels.
L’affaire prend une nouvelle tournure. La plainte d’Abdoulaye Sylla, un des actionnaires du groupe Emedia, contre ses associés, « pour abus de biens sociaux », a été confiée à la Sûreté urbaine (SU) de Dakar, révèle Libération dans sa livraison de ce vendredi 2 août.
Le patron de la société Easy holding Sa reproche aux dirigeants du groupe de presse, Mamoudou Ibra Kane, ancien directeur général, et son successeur Alassane Samba Diop, entre autres personnes visées par la plainte, «d’avoir usé de subterfuges pour se sucrer». Le plaignant pointe du doigt, entre autres griefs, « des opérations nébuleuses des deux journalistes qui auraient constitué un compte courant de plus de 800 millions au profit de E-Media Rédacteurs dont ils sont propriétaires avec Boubacar Diallo et Mamadou Ndiaye».
« Cette situation n’a été possible qu’avec la complicité et la défaillance du commissaire aux comptes le cabinet Garego qui, de par sa mission, avait une obligation légale de faire un rapport aux actionnaires sur une telle situation et de provoquer, ainsi que la loi lui en fait obligation, l’Assemblée générale de la société », accuse l’homme d’affaires.
Après Alassane Samba Diop, Mamoudou Ibra Kane réagit. « L’homme d’affaires Abdoulaye Sylla Ecotra et ses nouveaux maîtres veulent liquider le groupe Emedia. Abus de confiance, dites-vous ? Archi-faux !!! Adepte du porter votre projet ne passera pas », réplique vertement le journaliste, repris par le journal.
Avis de tempête à la 7TV qui risque de changer de propriétaire.
Maimouna Ndour Faye est trainé en justice par un homme d’affaire de la « vente » de la licence de la 7TV. Selon les informations, elle doit 90 millions FCFA à l’homme d’affaires qui lui a vendu la télé.
Evoqué au tribunal, elle a perdu son bras de fer judiciaire. Alors, la journaliste, après la décision du juge des référés concernant son différend avec un homme d’affaires, risque de perdre la 7TV.
« Si la décision reste définitive, les véritables propriétaires vont pouvoir récupérer leurs outils de production », a déclaré le juriste Kamara
Il précise que c’est une décision rendue en premier ressort. Maimouna Ndour Faye peut faire appel, ou déposer un pourvoi en cassation.
Il informe que rien qu’avec cette décision, les véritables propriétaires peuvent demander l’exécution. En termes plus clairs, la 7TV risque de changer de propriétaire à défaut qu’un arrangement soit trouvé…
En poste depuis juillet 2022, Alioune Badara Fall vient d’être viré de la Direction générale de Air Sénégal par le conseil d’administration de la compagnie qui s’est réuni hier.
La compagnie nationale Air Sénégal s’est séparé hier de son directeur général Alioune Badara Fall. Tidiane Ndiaye occupe désormais le poste de DG de Air Sénégal.
D’après les informations de L’OBS, les consultations pour le choix du successeur de Alioune Badara Fall avaient démarré depuis plus de deux mois.
Il est vrai qu’entre multiplication des retards, annulations de vols et réel défaut de communication, Air Sénégal enregistrait un nombre record de critiques ces derniers temps. Sans surprise, celles-ci se cristallisaient en particulier sur le désormais ex-directeur général.
La caissière A. Ba, âgée de 25 ans, a été jugée hier, par le Tribunal des flagrants délits de Dakar pour abus de confiance portant sur la somme de 2,5 millions FCFA au préjudice de son employeur, Ibrahima Diégo Diallo.
Chômeuse depuis quelques années, A. Ba n’a pas saisi la perche que son compatriote Guinéen Ibrahima. Diégo Diallo lui a tendue. Après avoir parcouru en vain toutes les directions de Dakar à la recherche de travail dans son domaine, Diégo lui propose un poste de caissière dans son «Multiservice».
Travail qu’elle a accepté en attendant d’avoir mieux. Seulement, après 4 mois d’exercice, A. Ba vide la caisse : 1,7 million FCFA de recettes et 800 mille FCFA de fonds de secours. La caissière se dit être victime de charlatanisme. Excuse qui n’a pas convaincu son patron encore moins le Tribunal des flagrants délits de Dakar. La jeune fille a été obligée de servir un engagement de restitution. Ce qui lui a valu une condamnation de 6 mois assortie de sursis.
A la barre hier, rapporte L’OBS, la prévenue A. Ba n’a servi aucune preuve pouvant étayer ses allégations. Elle s’est juste contentée de se faire passer pour la victime. Si on s’en fie à son récit, 3 Ivoiriens, dont 2 garçons et une femme, se sont présentés à son multiservice sise à Dieuppeul/Dérklé. Ils lui ont demandé de faire un transfert de 2,5 millions sur un numéro international, via le moyen de transfert d’argent Wave.
Elle s’exécute machinalement sans se poser de questions. Dès que le transfert a réussi, les 3 malfrats lui ont tourné le dos sans lui donner l’argent. Elle était comme hypnotisée et se sentait incapable d’ouvrir la bouche. C’est quelques minutes après leur départ qu’elle a pu sortir de sa léthargie.
Mais la partie civile, Ibrahima Diégo Diallo doute de sa bonne foi. A l’en croire, la caissière a été dans l’impossibilité de lui montrer la traçabilité de la transaction frauduleuse, dont elle dit être victime. «Sa famille a mobilisé 700 mille FCfa. Je réclame le restant chiffré à 1,8 million FCFA», a tranché la partie civile.
Le procureur de la République a requis l’application de la loi. Par le biais de sa famille, A. Diallo a versé au Tribunal un engagement de restitution de la somme due. Selon l’accord signé, elle devra verser chaque mois 100 000 FCFA. La caissière s’en est finalement sortie avec une condamnation de 6 mois assortie de sursis.
Auparavant, la reine du Djolof Band avait annoncé la sortie de son album ainsi que l’ouverture de sa boîte de nuit dans la capitale sénégalaise. Pour son opus, elle n’a pas donné de nouvelles mais pour sa boîte de nuit, nos confrères de kawtef sont en mesure de vous annoncer la date d’ouverture.
Viviane va ouvrir ses portes ce samedi 3 Août 2024. Du moins, c’est que Pape Cheikh Diallo a confirmé sur son Snap. AVEC KAWTEF
Souleymane Jules Diop va désormais quitter ses fonctions d’ambassadeur délégué permanent à l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) après cinq années. C’est lui-même qui a fait l’annonce, ce mercredi lors de la clôture de la 46e session du Comité du Patrimoine mondial à New Delhi (Inde). «J’ai annoncé aux membres du Comité du Patrimoine mondial, qu’en même temps que se termine la rencontre inspirante de New Delhi, prennent fin mes fonctions d’ambassadeur délégué permanent à l’Unesco, après cinq années d’un engagement sans limite au service de mon pays», a écrit l’ancien ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé du suivi du Programme d’Urgence de Développement communautaire (Pudc) dans un post publié sur sa page Facebook.
Dans chaque pays, lorsqu’une femme tombe enceinte, elle change son attitude en fonction de sa culture et de ses croyances. Au Sénégal, dans la plupart des cas Dans chaque pays, lorsqu’une femme est en grossesse, elle change son attitude en fonction de sa culture et de ses croyances. Au Sénégal, dans la plupart des cas, les règles qu’elles induisent à pour but de protéger le bébé et la maman jusqu’à l’accouchement. Superstition ou pas, il y en a qui y croit dure comme fer.
Un foulard pendant sur le ventre de la femme en grossesse
Dans 90 voire 99% des cas, lorsqu’une femme est enceinte au Sénégal elle cache son ventre. Généralement, les sénégalaise entourent leur cou d’un long foulard dont un bon pan est posé sur son ventre qu’elle s’évertue à maintenir au niveau du nombril. Le but de cette pratique est de préserver le bébé du mauvais oeil.
Les femmes en état de grossesse ne sortent ni à 14 heures ni au crépuscule
Lorsque l’une des femmes de votre entourage ne sort plus ni dans les alentours de 14 heures ni au crépuscule, il y a de forte chance pour qu’elle attende famille. En effet, si vous avez des rendez-vous à fixer, elles éviteront toujours ces créneaux horaires là. Il y a des heures réservées aux djins (esprits) selon les traditions locales. Les femmes enceintes sont censées être des cibles de choix pour eux.
Elles évitent les foules et les enterrements
Si tu constates qu’une femme évite depuis un bon moment les foules, cela signifie surement qu’elle va dans un futur relativement proche être maman. Les femmes enceintes évitent les attroupements car là on ne connaît pas les intentions de tout le monde. De ce fait, elles préfèrent prendre leurs précautions. Le plus grand attroupement ou cérémonie à éviter ce sont les enterrements. Selon toujours la tradition, l’esprit des morts circule et peut emporter le bébé.
Quand elles désirent un aliment qu’elles ne peuvent s’offrir, elles ne se touchent pas le ventre
Au Sénégal, une femme enceinte qui a envie de quelque chose qu’elle ne peut pas obtenir doit éviter de toucher son ventre. Vous vous demandez pourquoi ?
La pensée populaire indique qu’à ce moment si elle se touche le ventre, la partie du corps du bébé qui se trouve sous cet endroit précis aura une tache noire à la naissance de l’enfant. Quand vous voyez donc des enfants sénégalais avec les larges taches noires sur leur peau, on dit que c’est de la faute à la maman.
On n’énerve pas une future maman
La tradition populaire veut qu’une femme enceinte énervée par quelqu’un ne détourne pas le regard de son interlocuteur. Sinon son enfant pourrait ressembler à la personne qui l’énerve. Selon les tribus, ce mythe peut être dérivé. En effet, il existe une version selon laquelle une femme enceinte ne doit pas dire du mal d’une personne, sous peine que son enfant ressemblera à cette dernière.
Elles n’annoncent pas leur grossesse
Dans la société sénégalaise, il est de coutume de ne pas annoncer sa grossesse. Le but de cette pratique est de ne pas s’attirer de malheurs. Les futures mamans attendent que les personnes remarquent leurs grossesses mais n’en parlent jamais de manière spontanée à l’exception de la famille proche (parente, frère et soeur, beaux-parents).
Elles protègent leur bébé
Pour finir, je peux vous faire remarquer qu’au-delà des mythes il y a aussi les considérations liées au contexte actuel affecté par le terrorisme. On remarque la présence quasi-permanente à Dakar des contrôles induisant les détecteurs d’explosifs et de métaux. Dès qu’une femme souhaite se soustraire aux détecteurs, il y a de forte possibilité pour que cette dernière attende un enfant. En effet, il semble que les rayons émis par les détecteurs sont nocifs pour les fœtus.
Voilà cher(e)s ami(e)s, vous pouvez maintenant détecter sans problème les femmes enceintes qui voudraient se cacher.
Le Dr Cheikh Dieng, qui occupait le poste de directeur de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) depuis trois mois, a été limogé, comme l’indique le communiqué du Conseil des ministres publié ce mercredi. Les raisons exactes de cette décision n’ont pas été précisées.
L’ONAS sera désormais dirigé par l’ingénieur hydrogéologue Seni Diene.
“Moussa Dadis Camara condamné à 20 ans d’emprisonnement”, a annoncé le juge en lisant le verdict d’un procès qui se déroulait depuis septembre 2022. Le parquet avait requis une peine d’emprisonnement à vie pour l’ancien président. Onze autres personnes de son entourage et de l’ancien gouvernement du pays étaient jugées aux côtés de M. Camara, âgé de 60 ans. Le tribunal a estimé que sept d’entre eux étaient également coupables de crimes contre l’humanité. Ils ont été condamnés à des peines allant de 10 à 18 ans de prison. Claude Pivi, qui a joué un rôle clé dans les structures du pouvoir sous M. Camara, a été condamné par contumace à 25 ans de prison et un mandat d’arrêt international a été lancé contre lui.
En décembre 2008, le capitaine Camara a mené un coup d’État militaire en Guinée et a été proclamé président du pays écrit Tass. En septembre 2009, 157 personnes participant à une manifestation antigouvernementale ont été tuées dans un stade de Conakry. En décembre de la même année, M. Camara fait l’objet d’une tentative d’assassinat et est transporté dans un hôpital au Maroc avec des blessures graves. En janvier 2010, alors qu’il se trouvait en dehors de la Guinée, M. Camara a annoncé qu’il renonçait au contrôle du pays et qu’il ne rentrerait pas chez lui. Il est cependant rentré en Guinée trois jours après l’ouverture de son procès. M. Camara affirme qu’il est innocent.