« Tapha Tine diap nako ba faw. Limou def daf ma marquer, dakh bimako dané ba paré dama… », le témoignage inattendu de Balla Gaye (vidéo)

Une semaine après leur intense combat, les lutteurs Balla Gaye et Tapha Tine ont enfin rempli le dernier devoir stipulé dans leur contrat : le traditionnel face-to-face post-combat. Cet événement a eu lieu dans une ambiance électrisante, réunissant les amateurs de lutte, les médias, et les supporters des deux camps, tous curieux de connaître les impressions des deux champions après leur confrontation tant attendue.

Conseil d’administration du FMI: Bougane interpelle le gouvernement

Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp continue ses assauts contre le régime place. Cette fois ci , l’opposant a interpellé le gouvernement relativement au conseil d’administration du Fond monétaire international(Fmi) d’ou le Sénégal est recalé  dans le cadre d’un décaissement . Une occasion pour Bougane d’interpeller le gouvernement non sans leur demander des explications . “Le Sénégal recalé par le FMI. Le décaissement de 230 milliards différé au dernier trimestre 2024. Le Conseil d’administration du FMI a déprogrammé le dossier du Sénégal. Sortez expliquer encore “ , a laissé entre le Président du mouvement Gueum Sa Bopp les “Jambaars” sur sa page Facebook . Pour rappel , le ministre des Finances et du budget ne s’est pas présenté devant le Conseil d’administration du Fmi, le 24 juillet dernier, où il savait que des questions l’attendaient sur les causes et circonstances du dernier eurobond de 450 milliards, auquel les partenaires n’étaient pas associés. Or, le faux bond du ministre des finances Diba a par conséquent privé pour l’immédiat le Sénégal  d’un décaissement de 230 milliards, qui aurait été particulièrement bienvenu avant celui de décembre portant sur 109 milliards.

Gestion des fonds Covid-19 : le ministre de la Justice fait une nouvelle annonce

On en sait un peu plus sur la gestion du dossier des fonds Covid-19. Le ministre de la Justice qui recevait des représentants d’Article 19/Afrique de l’Ouest samedi, s’est prononcé sur la suite accordée au rapport d’audit de la Cour des comptes. Ousmane Diagne a informé que la procédure judiciaire enclenchée pour faire la lumière sur cette affaire suit son cours. Mieux, il a assuré que « le juge sera saisi et le droit sera dit ».

« Le Ministre de la Justice a assuré la suite logique du rapport d’audit de la cour des comptes sur les fonds Covid-19. Il a précisé que l’information judiciaire ouverte suit son cours et que dans un avenir proche, les infractions visées par le rapport seront traitées comme de droit, « le juge sera saisi et le droit sera dit » pour garantir une transparence financière dans le secteur de la santé », a rapporté Article 19 sur sa page Facebook.

Lors de cette rencontre, d’autres sujets ont été discutés notamment l’accès à l’information, de l’état des libertés civiques, de la régulation des réseaux sociaux, de la situation du PGO Sénégal et des droits fondamentaux.

La gestion des fonds COVID a suscité une attention particulière au Sénégal, en raison de l’ampleur des ressources mobilisées pour faire face à la crise sanitaire et de l’urgence des besoins à couvrir. Le rapport de la Cour des Comptes a révélé des dysfonctionnements et des cas de mauvaise affectation des fonds, entraînant une demande accrue de transparence et de justice de la part du public.

On en sait un peu plus sur la gestion du dossier des fonds Covid-19. Le ministre de la Justice qui recevait des représentants d’Article 19/Afrique de l’Ouest samedi, s’est prononcé sur la suite accordée au rapport d’audit de la Cour des comptes. Ousmane Diagne a informé que la procédure judiciaire enclenchée pour faire la lumière sur cette affaire suit son cours. Mieux, il a assuré que « le juge sera saisi et le droit sera dit ».

« Le Ministre de la Justice a assuré la suite logique du rapport d’audit de la cour des comptes sur les fonds Covid-19. Il a précisé que l’information judiciaire ouverte suit son cours et que dans un avenir proche, les infractions visées par le rapport seront traitées comme de droit, « le juge sera saisi et le droit sera dit » pour garantir une transparence financière dans le secteur de la santé », a rapporté Article 19 sur sa page Facebook.

Lors de cette rencontre, d’autres sujets ont été discutés notamment l’accès à l’information, de l’état des libertés civiques, de la régulation des réseaux sociaux, de la situation du PGO Sénégal et des droits fondamentaux.

La gestion des fonds COVID a suscité une attention particulière au Sénégal, en raison de l’ampleur des ressources mobilisées pour faire face à la crise sanitaire et de l’urgence des besoins à couvrir. Le rapport de la Cour des Comptes a révélé des dysfonctionnements et des cas de mauvaise affectation des fonds, entraînant une demande accrue de transparence et de justice de la part du public.

On en sait un peu plus sur la gestion du dossier des fonds Covid-19. Le ministre de la Justice qui recevait des représentants d’Article 19/Afrique de l’Ouest samedi, s’est prononcé sur la suite accordée au rapport d’audit de la Cour des comptes. Ousmane Diagne a informé que la procédure judiciaire enclenchée pour faire la lumière sur cette affaire suit son cours. Mieux, il a assuré que « le juge sera saisi et le droit sera dit ».

« Le Ministre de la Justice a assuré la suite logique du rapport d’audit de la cour des comptes sur les fonds Covid-19. Il a précisé que l’information judiciaire ouverte suit son cours et que dans un avenir proche, les infractions visées par le rapport seront traitées comme de droit, « le juge sera saisi et le droit sera dit » pour garantir une transparence financière dans le secteur de la santé », a rapporté Article 19 sur sa page Facebook.

Lors de cette rencontre, d’autres sujets ont été discutés notamment l’accès à l’information, de l’état des libertés civiques, de la régulation des réseaux sociaux, de la situation du PGO Sénégal et des droits fondamentaux.

La gestion des fonds COVID a suscité une attention particulière au Sénégal, en raison de l’ampleur des ressources mobilisées pour faire face à la crise sanitaire et de l’urgence des besoins à couvrir. Le rapport de la Cour des Comptes a révélé des dysfonctionnements et des cas de mauvaise affectation des fonds, entraînant une demande accrue de transparence et de justice de la part du public.

On en sait un peu plus sur la gestion du dossier des fonds Covid-19. Le ministre de la Justice qui recevait des représentants d’Article 19/Afrique de l’Ouest samedi, s’est prononcé sur la suite accordée au rapport d’audit de la Cour des comptes. Ousmane Diagne a informé que la procédure judiciaire enclenchée pour faire la lumière sur cette affaire suit son cours. Mieux, il a assuré que « le juge sera saisi et le droit sera dit ».

« Le Ministre de la Justice a assuré la suite logique du rapport d’audit de la cour des comptes sur les fonds Covid-19. Il a précisé que l’information judiciaire ouverte suit son cours et que dans un avenir proche, les infractions visées par le rapport seront traitées comme de droit, « le juge sera saisi et le droit sera dit » pour garantir une transparence financière dans le secteur de la santé », a rapporté Article 19 sur sa page Facebook.

Lors de cette rencontre, d’autres sujets ont été discutés notamment l’accès à l’information, de l’état des libertés civiques, de la régulation des réseaux sociaux, de la situation du PGO Sénégal et des droits fondamentaux.

La gestion des fonds COVID a suscité une attention particulière au Sénégal, en raison de l’ampleur des ressources mobilisées pour faire face à la crise sanitaire et de l’urgence des besoins à couvrir. Le rapport de la Cour des Comptes a révélé des dysfonctionnements et des cas de mauvaise affectation des fonds, entraînant une demande accrue de transparence et de justice de la part du public.

Bougane ‘massacre’ Sonko:«Tu es un client de l’abandon des bonnes causes »

La sortie du leader de Pastef sur la position de la France voulant rendre hommage aux tirailleurs sénégalais deThiaroye 44 a inspiré le leader de Guem Sa Bopp, Bougane Gueye Dany. Ce dernier n’a aucunement épargné Ousmane Sonko: « Thiaroye 44 oui, mais dis-nous d’abord la vérité sur les 86 martyrs (2021/2024) et sur le protocole avec Macky Sall. Sonko, tu as trahi le panafricanisme… » a martelé Bougane Gueye Dany tout en disant que le leader de Pastef n’est plus apte à parler pour les Africains. « Tu as trahi la cause panafricaine. Tu es un adepte du renoncement. Tu es un client de l’abandon des bonnes causes » enchaîne tutoyant « son ancien camarade de l’opposition ». 

Ce n’est pas par un post que tu vas regagner la confiance de la jeunesse sénégalaise et celle des panafricains qui te conjuguent désormais au passé. Tu adores prendre le contrepieds de ton patron Diomaye Faye qui s’est aplati devant le premier des français, comme tu l’avais fait devant Melanchon l’avocat des LGBT. Seulement tu t’y prends très mal, en t’entêtant à vouloir défendre un panafricanisme populiste et non convaincu. Ousmane, avant d’épuiser ton énergie sur Thiaroye44, ne faudrait il pas expliquer aux sénégalais « le deal de l’amnistie » entre toi et le Président Macky Sall. N’oublie pas que 86 jeunes sénégalais ont été tués dans votre marche vers le Palais. Il ya deux jours ton chef était assis comme un gamin en classe de Cp, aux côtés de Macron. Et aujourd’hui, comme le ridicule ne tue pas, tu joues au sale jeu de souverainiste en carton… » regrette Bougane Gueye Dany. 

Avant de parler de la tragédie de Thiaroye 44, considère le président de Guem Sa Bop, « il doit parler d’abord du deal ayant abouti à l’amnistie, après l’assassinat de ces 86 jeunes sénégalais entre Mars 2021 et février 2024 ». Il ajoute que dans  un État de droit, « ils serez tous traînés devant la CPI ». 

« Arrêtes ton cirque et dis  nous la vérité. Ainsi, ensemble, nous nous occuperons de la France pour qu’il dégage comme vous l’aviez promis aux sénégalais. Faites comme la France, reconnaissez votre responsabilité et celle des dignitaires de l’ancien régime sur la mort de 86 jeunes Sénégalais dont le sang a arrosé le tapis vous ayant conduit au Palais. Dites nous la vérité sur le protocole de Terrou Baye Sogui signé avec Macky Sall. Pansez les plaies des familles éplorées qui attendent toujours la vérité » scande Bougane.

J.O de Paris : Wally Seck sur la grande scène, ce samedi.

Paris est le centre d’attraction culturelle et sportive du moment. A l’occasion des Jeux olympiques organisés en région parisienne du 16 juillet au 11 Août 2024, le Sénégal est à l’honneur dans la programmation culturelle, artistique et sportive de ce grand rendez-vous.

Ce, dans le cadre du partenariat avec Dakar qui abritera les Jeux olympiques  de la jeunesse en 2026. 

Le 27 juillet, le « chanteur du peuple» Wally Ballago Seck se produira au Parc Georges Valbon, dans le plus grand site de célébration des Jeux olympiques de France. Ce sera un concert gratuit ouvert à tous. 

Pendant ce «week-end spécial Sénégal», d’autres activités telles que la danse, des tournois de football, des combats de lutte sénégalaise, un  « Arbre à palabre » avec des contes traditionnels sénégalais pour petits et grands sont au programme.  `

FMI : le faux-bond du ministre Cheikh Diba et le gel des 230 milliards F CFA

Après une émission d’Eurobonds conclue début juin d’un montant de 750 millions de dollars, soit 450 milliards de F CFA, le Sénégal devait bénéficier d’un nouveau décaissement de 230 milliards avant celui de décembre portant sur 109 milliards. « La dernière mission de revue du FMI, qui a séjourné à Dakar du 6 au 19 juin, avait conclu à la perspective du passage du dossier du Sénégal devant le Conseil d’administration de l’institution internationale, courant juillet 2024 », rappelle LeQuotidien. 
La même source indique que la réunion, « qui devait valider le décaissement », était calée pour le 24 juillet dernier. Mais, elle a été finalement reportée au mois de septembre prochain, avance le journal. Et pour cause, souligne le quotidien d’information : « Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a fait faux bond ». En conséquence, souffle LeQuotidien, l’institution de Bretton Woods a gelé le décaissement. 
Sur les raisons de l’absence du ministre sénégalais, « il se dit qu’il aurait senti la nécessité de mieux se préparer afin d’expliquer aux bailleurs les causes et circonstances du dernier eurobond de 450 milliards, auquel les partenaires n’étaient pas associés», chuchotent des sources du journal de Madiambal Diagne. 

PUBLICATION DES RAPPORTS DE L’IGE : BIRAHIM SECK INTERPELLE LE PRÉSIDENT BASSIROU DIOMAYE FAYE

Birahim Seck, coordonateur du Forum civil invite le Président Bassirou Diomaye Faye a publié les rapports de l’inspection Générale d’Etat. Selon lui, la publication se fait trop attendre.

« M. le PR @PR_Diomaye, la publication des rapports de l’inspection Générale d’Etat se fait trop attendre. Vous aviez pris I’engagement, devant le peuple Sénégalais, de faire publier les dits rapports, moyen de prévention des flux financiers illicites », a t-il dit sur X.

Lac 2 brise le silence: ” Modou Lo a posé un acte qui m’a beaucoup touché”

Le lutteur de Guédiawaye, Papis Cissé, communément connu dans les arènes sous le surnom de Lac de Guiers 2, recouvre la liberté après deux mois de détention à la maison d’arrêt et de correction (MAC) de Rebeuss.

Arrêté le 14 mai dernier et placé sous mandat de dépôt pour une sombre affaire d’escroquerie au visa, Lac de Guiers 2 bénéficie d’une liberté provisoire, après paiement de toute la caution de 59 millions FCFA, montant qu’il doit à sa vingtaine de plaignants.

A sa sortie de prison, Lac de Guiers 2 a réagi présentant ses excuses à tous les Sénégalais.

“Je rends grâce à Dieu. Je prie pour ma défunte mère. Je remercie toutes les personnes qui ont posé des actes pour ma libération“, a-t-il déclaré.

Il ajoute : “Je présente mes excuses à tous les Sénégalais, particulièrement à mon père. Je suis conscient que je lui ai causé du tort.”

“Et, il a beaucoup fait pour que je surmonte cette épreuve. Je salue le comportement de l’administration pénitentiaire”, a-t-il souligné.

Avant de poursuivre : “Les gardes m’ont bien traité durant mon séjour. C’est eux qui me poussaient à m’entraîner tous les jours pour maintenir ma forme.”

«Je présente mes excuses à tous les Sénégalais …»

“Je prie pour la libération des autres lutteurs, comme Albarka, Saloum Saloum, Cheikh Mama Lamine et Chérif. Qui sont en détention. D’ailleurs mercredi passé, on avait organisé des tournois de lutte dans la prison”, prie-t-il.

“Les lutteurs comme Modou Lo, Gris Bordeau Eumeu Sène et autres sont venus y assister. On va continuer à le faire. Je vais voir avec mon staff comment faire des collectes de dons”, indique Lac de Guiers 2.

Avant de conclure : “Parce que les prisonniers ont besoin d’être soutenus. Modou Lo a posé un acte qui m’a beaucoup touché. Je lui témoigne ma gratitude. Je remercie toutes les personnes qui ont apporté leurs contributions.”

Diarrhée : L’apprenti fait ses besoins sur le toit de la voiture

Le besoin était tellement pressant que l’apprenti chauffeur ne pouvait se retenir. Sa diarrhée s’intensifie en pleine circulation, l’apprenti était “obligé” de faire ses besoins sur le toit de la voiture.

En pleine circulation, l’apprenti M. S est pris par un diarrhée intense. Il tente par tous les moyens de faire arrêter le véhicule pour aller aux selles. Mais le chauffeur poursuit sa route sur l’autoroute, faisant fi de ses alertes.

Il le hèle, toque à la porte, tape avec insistance aux vitrines. Mais rien n’y fit. Le car «Ndiaga Ndiaye» qui a quitté Pompier pour se rendre aux Parcelles assainies, continue son chemin.

Plus la voiture avançait, relate L’OBS, plus l’envie s’accentuait et devenait plus pressante. Ne pouvant plus se retenir, l’apprenti chauffeur eut alors l’insolite idée de faire ses besoins séance tenante.

Il monte sur le toit de la voiture, étale un morceau de tissu et défèque dessus. Les clients n’auraient probablement rien su, si M.S n’avait pas pensé se nettoyer. Dès qu’il a utilisé de l’eau, les excréments ont commencé à suinter.

Dégoûtés, les passagers s’affolent. Le vacarme était tel que le chauffeur dut s’arrêter à hauteur de la bretelle des Maristes. Interpellé par les clients, le policier monte sur le toit et tombe sur l’apprenti chauffeur qui n’avait toujours pas fini de faire ses besoins.

Le limier invite le chauffeur à monter sur le toit pour constater l’œuvre de son apprenti. M. S dira au policier et à son chef qu’il avait la diarrhée et un besoin pressant de se soulager. Le policier atteste le chauffeur, saisit ses papiers et les laisse partir.

Ces faits se sont déroulés ce mardi 23 juillet. Le lendemain, mercredi 24 juillet, le chauffeur se présente au commissariat central pour récupérer ses papiers. Seulement, les limiers lui demandent de faire venir M.S.

Entendu par les éléments de ce commissariat, le jeune homme âgé de 22 ans fait son mea culpa. Il avoue avoir fauté, mais dit avoir interpellé son chef en vain. M. S confie aux enquêteurs qu’il avait même commencé à déféquer dans son pantalon.

Après son audition, M. S a été arrêté pour outrage public à la pudeur et mise en danger de la vie d’autrui. Au terme légal de sa garde à vue, l’homme domicilié à Keur Mbaye Fall a été présenté, avant-hier jeudi 25 juillet 2024, devant le procureur de la République.

LE MINISTÈRE DE LA COMMUNICATION RAPPELLE AUX ENTREPRISES DE PRESSE LEURS OBLIGATIONS RÉGLEMENTAIRES

Le Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique a publié, jeudi, un communiqué rappelant aux entreprises de presse écrite et audiovisuelle l’importance de se conformer à la réglementation en vigueur, soulignant les manquements observés et les sanctions possibles.

Pour les entreprises de presse écrite, le ministère dit avoir a constaté que parmi les 51 quotidiens, hebdomadaires et mensuels de la presse classique, ainsi que les 17 publications digitales, plusieurs ne respectent pas les exigences légales de déclaration de parution et de dépôt légal. Ces manquements constituent une violation des articles 80 et 82 de la Loi 2017-27 du 13 juillet 2017 portant Code de la Presse.

En conséquence, il est demandé à tous les éditeurs de presse écrite ou digitale de régulariser leur situation au plus tard le 29 juillet 2024. Passé ce délai, des sanctions prévues par la loi seront appliquées.

Pour les entreprises audiovisuelles, le communiqué rappelle que, selon l’article 94 du Code de la Presse, « l’exercice de toute activité d’édition, de distribution et de diffusion de services de communication audiovisuelle, quelle que soit la technique utilisée, est subordonné à une autorisation délivrée par le Ministre chargé de la Communication, après avis conforme de l’organe de régulation, dans les conditions définies par le code ».

Ainsi, toutes les entreprises audiovisuelles ayant déjà signé une convention et un cahier des charges avec le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) sont invitées à se rapprocher du Ministère en charge de la Communication pour obtenir la licence nécessaire, conformément à la loi.

Le ministère réaffirme son engagement à veiller au respect strict des réglementations en vigueur afin de garantir un environnement médiatique ordonné et conforme aux normes légales.